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Sortie sur les écrans romands de La Mif, film multiprimé de Fred Baillif

4 mars 2022 Redaction 1 min read Amandine Golay, Amélie Tonsi, Anaïs Uldry, Berlinale 2021, Charlie Areddy, Claudia Grob, Fred Baillif, Generation 14plus, Joyce Esther Ndayisenga, Kassia Da Costa, La Mif, Sara Tulu, travail social

Présenté en Première à la Berlinale 2021 dans la section Generation 14Plus où il a remporté le Prix du meilleur film, La Mif de Fred Baillif est enfin sorti sur les écrans romands. Le film est projeté au Nord-Sud à 16h10 et à 21h et aux cinémas Scala 1 à 13h45 18h30 à Genève et sortira le 9 mars à Lausanne.
Au cœur d’un foyer d’accueil, une bande d’adolescentes vivent avec leurs éducateurs. Comme cela serait le cas pour une famille classique, elles ne se sont pas choisies et elles vivent sous le même toit. Le cinéaste genevois est travailleur social de formation, c’est donc dans un monde qui lui est familier qu’il nous fait entrer, en posant un regard aiguisé sur un système sclérosé et rétrograde. Fred Baillif déjoue les pièges d’un sujet éculé dans le cinéma documentaire comme de fiction en offrant une vision kaléidoscopique d’un foyer d’accueil qui ne se contente pas du regard posé sur les jeunes, mais également sur les éducatrices et éducateurs, eux aussi en bute à leurs problèmes personnels et aux conflits interpersonnels. (…)

Berlinale 2021 Cinéma / Kino Culture / Kultur

Berlinale 2021 – Generation : La Mif du Genevois Fred Baillif met en lumière la complexité du travail social en donnant corps et voix à ceux qui en bénéficie comme à ceux qui l’effectue

3 mars 2021 Malik Berkati 5 min read Amandine Golay, Amélie Tonsi, Anaïs Uldry, Berlinale 2021, Charlie Areddy, Claudia Grob, Fred Baillif, Generation 14plus, Isabel De Abreu Cannavo, Joyce Esther Ndayisenga, Kassia Da Costa, La Mif, Nadim Ahmed, Sara Tulu, The Fam, travail social

Au cœur d’un foyer d’accueil, une bande d’adolescentes vivent avec leurs éducateurs. Comme cela serait le cas pour une famille classique, elles ne se sont pas choisies et elles vivent sous le même toit. Le cinéaste genevois est travailleur social de formation, c’est donc dans un monde qui lui est familier qu’il nous fait découvrir en posant un regard aiguisé sur un système sclérosé et rétrograde. Fred Baillif déjoue les pièges d’un sujet éculé dans le cinéma documentaire comme de fiction en offrant une vision kaléidoscopique d’un foyer d’accueil qui ne se contente pas du regard posé sur les jeunes, mais également sur les éducatrices et éducateurs, eux aussi en bute à leurs problèmes personnels et aux conflits interpersonnels.
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