j:mag

lifestyle & responsible citizenship

Berlinale Special Gala

Berlinale 2023Cinéma / KinoCulture / Kultur

Berlinale 2023 : projeté dans Berlinale Special Gala, L’ultima notte di Amore, d’Andrea Di Stefano, suit un policier à la veille de retraite, mêlant triller et portrait psychologique

L’ultima notte di Amore est la troisième réalisation de Di Stefano, un acteur qui est passé derrière la caméra avec succès, après ses débuts internationaux avec Escobar (2014), suivi de The Informer (2019), qui le ramène enfin en Italie où il dirige une impressionnante brochette de comédiens composée de Pierfrancesco Favino, Linda Caridi, Andrea Gerardi et Francesco Di Leva. Le film est projeté durant le Festival de cinéma de Berlin dans Berlinale Special Gala avant d’arriver en salles en Italie début mars. (…)

Read More
Berlinale 2023Cinéma / KinoCulture / Kultur

Berlinale 2023 – Gala Special : La comédie romantique de Rebecca Miller, She Came to Me, ouvre la Berlinale…

… et c’est embarrassant ! Cela ne participe pas d’un dédain mandarinal que de le souligner. Bien sûr, les comédies romantiques ont toute leur place dans l’industrie du cinéma – elles font même partie des genres qui entraînent le plus de spectateurs et spectatrices dans les salles et rapportent donc le plus d’argent – mais lorsqu’elles sont sélectionnées dans un des plus grands festivals internationaux, il s’agirait quand même que l’œuvre présentée ait quelques qualités autres que son nombre de vedettes. (…)

Read More
Berlinale 2020Cinéma / KinoCulture / Kultur

Berlinale 2020 – Film d’ouverture (Berlinale Special Gala) : My Salinger Year du cinéaste canadien Philippe Falardeau 

À la question de savoir pourquoi cette année le film d’ouverture de la 70 Berlinale n’était pas un film en compétition, le nouveau directeur artistique du festival Carlo Chatrian a expliqué qu’il préfère

ouvrir plutôt avec un film de la section Berlinale Special Gala qu’un film en compétition car cela ne rend pas service au film d’après mon expérience. À la fin du festival, tout le monde l’a oublié.

S’il est vrai que les dernières années, les films d’ouverture n’avait pas la côte auprès du jury et des critiques, cela était plutôt dû au fait de leur médiocrité que de leur emplacement dans le calendrier, mais gageons que ce film d’ouverture, tout Gala qu’il soit, sera également très vite oublié. Il n’est pas franchement mauvais, il est juste très classique dans sa forme, malgré des essais d’effets cinématographiques qui n’aboutissent jamais, comme dans l’histoire qu’il raconte – une sorte de coming-of-age qui aboutit sur pas grand-chose. Dommage, car ce qu’il reste en sortant, c’est une vague impression d’ennui et de fadeur malgré l’effort chromatique de la photographie à tendre vers les couleurs les plus chaudes de la palette… et le plaisir de revoir Sigourney Weaver !
(…)

Read More