j:mag

lifestyle & responsible citizenship

film d’ouverture

Berlinale 2024Culture / Kultur

Berlinale 2024 – Cillian Murphy ouvre le festival avec Small Things Like These de Tim Mielant, une plongée dans un épisode honteux de l’Irlande catholique

L’écrivaine irlandaise Claire Keegan inspire le cinéma et la Berlinale. En 2022, dans la section Generation, The Quiet Girl de Colm Bairéad était présenté, une adaptation du livre Foster (Les Trois Lumières, Sabine Wespieser Éditeur, 2011). Cette année, l’univers historico-poétique de l’autrice se retrouve dans une nouvelle adaptation, celle de Small Things Like These (Ce genre de petites choses, Sabine Wespieser Éditeur, 2020), avec à l’affiche l’acteur du moment depuis l’immense succès de son rôle d’Oppenheimer, Cillian Murphy.  Ce succès lui a valu un Golden Globe et de nombreuses nominations, dont celles aux Oscars à venir en mars. (…)

Read More
Cannes 2022Cinéma / KinoCulture / Kultur

Cannes 2022 – Coupez ! (Final Cut !) de Michel Hazanavicius célèbre l’art de faire du cinéma en ouverture du festival

Coupez ! est un film jubilatoire sur le monde du cinéma, ses petites mains comme ses grands égos, traité avec beaucoup d’autodérision par le réalisateur de The Artist ainsi que par les actrices et acteurs qui jouent sans retenue les travers de la profession. Cette ode aux métiers du cinéma et à leurs artisans, à la passion que cette industrie implique, se couple à une belle histoire de famille qui contient les éléments du besoin de reconnaissance et de la transmission filiale.
(…)

Read More
Berlinale 2022Cinéma / KinoCulture / Kultur

Berlinale 2022 – Compétition : Peter von Kant, une adaptation libre de Fassbinder par François Ozon, avec un Denis Ménochet au sommet de l’art dramatique !

Avec ses trois prix récoltés depuis 20 ans à la Berlinale, dont le Grand prix du jury en 2019 pour Grâce à Dieu, François Ozon a ouvert la Berlinale avec Peter von Kant, inspiré par Les larmes amères de Petra von Kant (Die bitteren Tränen der Petra von Kant, 1972) de Rainer Werner Fassbinder, auteur qu’il avait déjà adapté et présenté à Berlin en 2000 avec Gouttes d’eau sur pierres brûlantes. Souvent, les films d’ouvertures sont une énigme, il est vrai que cette tâche de choisir un film qui va donner le ton au festival est une chose complexe qui demande de considérer plusieurs choses pour marquer les esprits. Cette année, le choix est clair et s’impose comme une évidence : quoi de plus symbolique que de présenter une libre adaptation d’un film qui a fait sa Première à la Berlinale il y a 50 ans, en février 1972, avec dans un des rôles-titres Hanna Schygulla que fait une apparition dans le film d’Ozon ? (…)

Read More
Berlinale 2020Cinéma / KinoCulture / Kultur

Berlinale 2020 – Film d’ouverture (Berlinale Special Gala) : My Salinger Year du cinéaste canadien Philippe Falardeau 

À la question de savoir pourquoi cette année le film d’ouverture de la 70 Berlinale n’était pas un film en compétition, le nouveau directeur artistique du festival Carlo Chatrian a expliqué qu’il préfère

ouvrir plutôt avec un film de la section Berlinale Special Gala qu’un film en compétition car cela ne rend pas service au film d’après mon expérience. À la fin du festival, tout le monde l’a oublié.

S’il est vrai que les dernières années, les films d’ouverture n’avait pas la côte auprès du jury et des critiques, cela était plutôt dû au fait de leur médiocrité que de leur emplacement dans le calendrier, mais gageons que ce film d’ouverture, tout Gala qu’il soit, sera également très vite oublié. Il n’est pas franchement mauvais, il est juste très classique dans sa forme, malgré des essais d’effets cinématographiques qui n’aboutissent jamais, comme dans l’histoire qu’il raconte – une sorte de coming-of-age qui aboutit sur pas grand-chose. Dommage, car ce qu’il reste en sortant, c’est une vague impression d’ennui et de fadeur malgré l’effort chromatique de la photographie à tendre vers les couleurs les plus chaudes de la palette… et le plaisir de revoir Sigourney Weaver !
(…)

Read More
Cinéma / KinoCulture / KulturMostra 2019

Mostra 2019 : la 76ème édition accueille La vérité, de Kore-eda Hirokazu en film d’ouverture

La vérité, réalisé par Kore-eda Hirokazu (Une affaire de famille , Le troisième meurtre, Tel père, tel fils) et mettant en vedette Catherine Deneuve, Juliette Binoche, Ethan Hawke, est le film d’ouverture en compétition de la 76e édition de la Mostra Internazionale d’Arte Cinematografica qui s’ouvre aujourd’hui 28 août et se déroule au Lido de Venezia jusqu’au 7 septembre 2019.
(…)

Read More
Cinéma / KinoCulture / Kultur

La comédie satirique Keteke du Ghanéen fait l’ouverture du Festival des cinémas d’Afrique de Lausanne le 22 août 2019

Le cinéma nous a déjà donné à montrer que la vie n’est pas un long fleuve tranquille (La vie est un long fleuve tranquille d’Etienne Chatillez en 1998) – et c’est tant mieux ! -, Peter Sedufia, qui signe ici son second long métrage, nous rappelle que la vie de couple, même si elle se trouve sur des rails, n’assure pas un voyage sans embûches dans le train de la vie,  avec pour toile fond le fonctionnement farfelu des chemins de fer dans la région qui, si cela semble appartenir au domaine du folklore, est une véritable question sociale, les infrastructures de la mobilité pouvant être vitales dans des régions périphériques. Il serait certainement possible de filer l’allusion à d’autres infrastructures étatiques, mais ce serait extrapoler sur les intentions du jeune réalisateur ghanéen.
(…)

Read More
Berlinale 2019Cinéma / KinoCulture / Kultur

Berlinale 2019 – Compétition jour #1: The Kindness of Strangers – Une romance entre invisibles de la société fait l’ouverture de la Berlinale

Au moins une chose de sûre : le film part d’une bonne intention ! Une chaîne de gentillesse peut sauver les gens ; pardonner et se pardonner à soi-même également.
Lone Scherfig, la réalisatrice danoise mainte fois primée (dont l’Ours d’argent – Grand prix du jury) pour son film Italian for Beginners (2000), reprend ici la structure des personnages qui se mettent doucement en place et finissent par se croiser. Cette approche tout à fait classique met un peu de temps à aboutir (et le film, à son bout fait partie de ceux qui n’en finissent pas d’en finir), mais surtout n’offre que très peu de latitude aux personnages pour se développer ; l’impression de rester à la surface des choses freine l’enthousiasme pour un film par ailleurs efficace dans son genre : un film romantique aux abords dramatiques.
(…)

Read More
Cinéma / KinoCulture / KulturLocarno 2018

Rencontre avec Vianney Lebasque, Ahmed Sylla et Olivier Barthelemy pour Les beaux esprits qui a fait l’ouverture du 71e Festival international du Film de Locarno

Le protagoniste de ce film sportif est l’équipe nationale française de basketball, formée par douze athlètes ayant des déficits mentaux dans le cadre de leur participation aux Jeux Paralympiques de Sydney. C’est au cours de cette course que l’équipe se révèle être une équipe pleine de talent, réussissant à démolir tous les rivaux et à atteindre la finale, où, après avoir battu la Russie avec un score de 87-63, l’équipe a remporté la médaille d’or. Cette grande victoire, cependant, se révélera être une véritable arnaque! Cet esprit d’équipe fédérateur et cette cohésion sont inspirés par un fait qui s’est vraiment passé, l’une des fraudes sportives les plus célèbres de ces dernières années qui ont impliqué l’équipe de basket-ball espagnole. La comédie, malgré la déception subie par les protagonistes, tente de faire sourire et bouger, mais surtout de réfléchir sur les raisons d’un geste apparemment aussi insensé.
(…)

Read More
Cannes 2018Cinéma / KinoCulture / Kultur

Cannes 2018 : « Todos lo saben », le thriller ibérique du cinéaste iranien Asghar Farhadi ouvre la 71ème édition du Festival de Cannes

Le cinéaste iranien Asghar Farhadi – deux fois lauréat d’un Oscar du meilleur film parlé en langue étrangère – a choisi de tourner son dernier opus en Espagne et en espagnol, avec une distribution haut de gamme : Javier Bardem, sa femme à la ville Penelope Cruz et Ricardo Darín, l’acteur argentin le plus connu sur les écrans internationaux.
(…)

Read More
Cannes 2017Cinéma / KinoCulture / Kultur

Cannes 2017: Les Fantômes d’Ismaël – le dernier film d’Arnaud Desplechin fait l’ouverture du festival

Du beau monde est attendu ce soir pour la célèbre montée des marches. De nombreux festivaliers se pressent devant l’entrée du Palais des festivals pour voir monter l’équipe du film d’Arnaud Desplechin, un film qui suit la vie tumultueuse d’Ismaël Vuillard (Mathieu Amalric) sur le point de tourner un film sur le portrait d’Ivan, un diplomate atypique inspiré de son frère. Alors que sa raison semble vaciller et que son inspiration se fait désirer, il quitte le tournage pour retrouver sa maison familiale à Roubaix, accompagné de sa nouvelle compagne, Sylvia (Charlotte Gainsbourg) et toujours assailli par ses fantômes. La disparue (Marion Cotillard) débarque dans cette villa au bord de l’océan et vient troubler la quiétude du havre où le couple a cherché refuge et où ce réalisateur essaie de travailler sur un scénario. Des cauchemars l’assaillent et il tente d’y remercier avec des cachets et du whisky.
(…)

Read More