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Berlinale 2024Cinéma / KinoCulture / Kultur

Berlinale 2024 – Panorama : Ein Land zwischen Sektierertum und Korruption: der Libanon

Myriam El Hajj Dokumentarfilm über den Stand der Dinge im Libanon beginnt mit einer Performance junger Aktivisten, die Rede- und Denkfreiheit fordern, ein Leben ohne dauerhafte Beobachtung und Befragung, ein Land ohne eine korrupte Familienmafiapolitik und ohne Fanatiker. Einer der Aktivisten ist Joumana Haddad, eine Kandidatin für das Regierungsparlament. In wenigen Tagen werden die ersten Wahlen nach 9 Jahren stattfinden. (…)

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Berlinale 2024: Panorama-Blicke auf komplizierte Beziehungswelten

Das Panorama machte es einem diesmal nicht einfach es wirklich zu mögen. War es noch vor zwei Jahren die mit Abstand beste Berlinale-Sektion, gab es in diesem Jahr eine Menge Filme, die nicht wirklich zündeten oder bei denen man sich fragte, was die Macher damit sagen wollten. Dies kann sich aber im nächsten Jahr auch schnell wieder verbessern. Und einige gute Filme gab es auch in diesem Jahr. (…)

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Berlinale 2024 – Special: Genrefilme, Arthaus und Dokumentationen

Die Sektion Special war auch in diesem Jahr das Auffangbecken für Produktionen, die einen grossen Unterhaltungswert für ein breiteres Publikum bieten, aber auch verschärfte Arthausfilme a la Tsai Ming- liang und grössere Dokumentarfilme à la Nicolas Philibert, der im letztem Jahr den goldenen Bären gewann. Das auch hier nicht alles wirklich gut war ist schade. (…)

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Berlinale 2024 – Compétition : Mé el Aïn (Who Do I Belong To) de Meryam Joobeur met en scène les démons qui hantent les revenant·es de Daesh. Rencontre

Empreint de réalisme magique, le premier long métrage de la cinéaste tunisienne-canadienne revient sur l’épisode traumatisant des partant·es et revenant·es tunisien·nes de Daesh. À l’instar du documentaire fonctionnalisé de Kaouther Ben Hania, Les Filles d’Olfa, le défi est de rendre compte à la fois de destins individuels et d’un contexte général. Là où le récit de Kaouther Ben Hania péchait par une trop grande complaisance envers ses protagonistes, celui de Meryam Joobeur a le mérite d’intégrer dans son histoire l’image des victimes des djihadistes, même si elle n’évite pas totalement l’écueil de mettre les spectateurs·trices en position d’empathie envers ces jeunes gens partis semer la mort en Syrie. En revanche, totalement maîtresse de son film, au contraire de sa consœur, elle n’élude pas la question quand on le lui fait remarquer. Cette honnêteté de la réalisatrice est assez rare pour être soulignée ! (…)

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Berlinale 2024 – Wettbewerb: Viele Genres und Stile in verschiedener Qualität

Dem letzten vom scheidenden Programmdirektor Carlo Chatrian kuratierten Wettbewerb kann man eines nicht vorwerfen: Eintönigkeit. Der diesjährige Wettbewerb hatte von allem etwas dabei- vom Feelgoodmovie mit viel Musik, über Science-Fiction, Zeit und Gesellschaftskritischem bis zum Dokumentarfilm. So konnte jede*r etwas Passendes finden, aber es gab auch vieles, was nicht wirklich gut war im Programm oder eher ins Special gehört hätte. (…)

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Berlinale 2024 – Comment Dahomey, le documentaire de Mati Diop, a-t-il pu remporter l’Ours d’or de la 74e édition du festival international du film de Berlin ?

L’an passé, la victoire de l’excellent documentaire Sur L’Adamant de Nicolas Philibert, récompensé de l’Ours d’or, suscitait des regrets face au film de Christian Petzold, Roter Himmel (Le Ciel rouge) Ours d’argent Grand Prix du Jury. L’inversion des prix aurait été plus judicieuse. Cependant, cette année, la sélection de films de fiction dans la compétition ne comportait pas de candidat indiscutable. Si la consécration d’un documentaire à la Berlinale n’est pas en soi scandaleux, la question qui se pose est pourquoi récompenser un documentaire qui peine à capturer la quintessence du cinéma.
Indéniablement, le sujet du documentaire est puissant, et sa réalisation est soignée, méritant une critique favorable lors d’une sortie traditionnelle en salle. Toutefois, la légitimité de son Ours d’or demeure équivoque. Comment juger équitablement ce film à la lumière de cette prestigieuse récompense ? (…)

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Berlinale 2024 – Generation; Von Krankheiten und Geistern der Vergangenheit

Generation besteht in diesem Jahr aus 8 Filmen für Kinder (K+) und 9 Filmen für Jugendliche (14+). Dies sind deutlich weniger Filme als in den Vorjahren, aber auch diesmal ist nicht bei allen Filmen klar, warum sie nicht eher ins Forum oder Panorama gepasst hätten. (…)

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Berlinale 2024 – Forum: Die Mischung machts

War das Forum in den letzten Jahren immer mehr zur Abspielstätte von Essays und Experimentalfilmen geworden (was auch an der Einführung von Encounters lag), will die neue Forumsleiterin Barbara Wurm wieder eine grössere Bandbreite bieten, wie es einst bei Erika und Ulrich Gregor der Fall war. So gibt es in diesem Jahr auch wieder Spielfilme, „normalere“ Dokumentationen und Genrefilme (wie früher bei den beliebten Mitternachtsfilmen, nur nicht mehr um Mitternacht) im Programm. Die neue Ausrichtung ist voll gelungen und so fiel es mir schwer viele gute Filme in diesem Artikel wegzulassen. (…)

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Berlinale 2024 – Forum : Il cassetto segreto (Le tiroir secret), de Costanza Quatriglio, rend un vibrant hommage au père de la cinéaste

Costanza Quatriglio a un père célèbre : Giuseppe Quatriglio était un journaliste, auteur et globe-trotter sicilien qui a travaillé pour de nombreux journaux italiens, mais aussi américains. Intelligent, affamé de vie, il a rempli sa maison de livres, de textes, de photographies et de films, bref, de souvenirs. C’est dans cet environnement riche que Costanza a grandi. En 2010, la réalisatrice commence à filmer son père, sans éclairage supplémentaire, sans préparation, et c’est dans la pénombre de ces confidences spontanées que le public le découvre, simplement vêtu d’un peignoir, se confiant à sa fille dans une tendre complicité. Entouré de très nombreuses bibliothèques aux étagères remplies, le duo père-fille échange et discute. D’une main, Costanza prend la boîte « 1995-2001 » de l’étagère du haut, de l’autre, elle tient l’appareil photo argentique. (…)

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Berlinale 2024 – Panorama : Avec All Shall Be Well, Ray Yeung fait une incursion délicate dans la réalité homosexuelle de Hong Kong. Rencontre

Avec  Suk Suk (Un printemps à Hong Kong, 2019), le réalisateur hongkongais Ray Yeung avait déjà exploré la complexité de la vie quotidienne au sein de la communauté homosexuelle, en particulier pour les personnes âgées. Dans son dernier film, All Shall Be Well, Yeung plonge les spectateurs dans le tourbillon émotionnel de la vie d’Angie et Pat, un couple lesbien ayant partagé trois décennies de leur vie à Hong Kong. (…)

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