Berlinale and the Caligari Film Prize 2011
The Ballad of Genesis and Lady Jaye
Director: Marie Losier
lifestyle & responsible citizenship
The Ballad of Genesis and Lady Jaye
Director: Marie Losier
Zwei Bräute im Park, zwei Nasenoperationen, zwei Petersilienbüschel. In Marie Losiers “The Ballad of Genesis and Lady Jaye” werden Erwartungen – und das ist gut so – enttäuscht. Ihre dokumentarische Collage ist keine angestrengte Analyse von Geschlechteridentitäten, keine klassische Musik-dokumentation, keine Freakshow. Die Regisseurin kommt den beiden Menschen, die sie portraitiert, spürbar nahe. (…)
Read MoreCrystal Bear for the Best Feature Film: On the Ice
by Andrew Okpeaha MacLean, USA 2011
This film drew us in from the first minute and remained gripping right up to the very end. Here, between solitude and endless expanses, a stifling and constricting atmosphere is created using simple means. Our winning film took us off to a world that was totally unknown to us. A world where everything seems submerged in darkness, even though the sun never goes down. (…)
Read MoreBerlinale 2011: Gläserne Bären bei Generation 14plus Die Mitglieder der Generation 14plus Jury Faysal Asfaha Jonathan Curio Leonie Goebel-Künnecke Theresa
Read MoreUn film belge de Flandres plus massif encore que son titre, intriguant, d’une violence extrêmement perturbante, car à la fois physique et psychique, explosive, irrépressible, mais aussi latente, retenue, emprisonné dans les corps et les cœurs. Un malaise diffus qui ramène aux questions primaires de l’existence, comme à sa complexité extrême. C’est avec ces impressions que l’on ressort de la séance de Rundskop.
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Die Szenerie dieses Films ist die irische Provinz, mit Anklängen von der Insel des satten Grüns und irischem Idyll. Aber schon die Eröffnungssequenz mit einer makaber abgelegten Leiche, welche den Titelhelden auf den Plan ruft, einen in die Jahre gekommenen bulligen Kleinstadtpolizisten, lässt es klar werden, dass hier keine heile Welt besteht, eher das Gegenteil. Die Interieurs mit ihren bizarren Zügen und etlichen visuellen Kunstgriffen der Kamera erinnern im gesamten Verlauf des Films immer wieder hieran. (…)
Read MoreC’est un bon petit téléfilm.
de Angelo Cianci; avec Fellag, Hippolyte Girardot, Aymen Saïdi, Judith Henry; France; 2010; 93 min. (…)
Vom 15. bis 17.2. findet jeweils um 18 Uhr im Arsenal 2 die Veranstaltung Berlinale Shorts Go Arsenal statt. Dort sprechen die Filmemacher über ihre Kurzfilme, Bilder, Ideen und Visionen. Sie haben die Gelegenheit Fragen zu stellen. Die Veranstaltung ist frei und offen für alle. (…)
Read MorePourquoi parler d’un film documentaire allemand qui traite d’un sujet germano-allemand à travers le portrait d’un écrivain est-allemand également informateur de la Stasi? Tout simplement car l’histoire individuelle qui se heurte à l’histoire d’un État, de sa société et de son système pervers renvoie très souvent à des échos universels. De plus, de par sa qualité narrative et l’originalité de quelques éléments filmiques comme les tableaux originaux de Leif Heanzo illustrant des scènes de passé, il y a bien des chances qu’il soit diffusé au moins sur des chaînes de télévisions francophones. (…)
Read MoreDes années après avoir été violées par le même violeur en série, deux femmes se rencontrent par hasard. Nira est mère célibataire et travaille pour la télévision, Lily est une militante engagée auprès des Palestiniens. En reconnaissant Nira lors d’un reportage sur l’empêchement par l’armée israélienne de la cueillette des olives par les Palestiniens, Lily se remémore son passé et cherche à le relier à son présent et à la personne qu’elle est devenue. Le « violeur courtois », comme l’avait surnommé la presse devient son obsession. Lily de son côté tente de refouler ce souvenir sans se rendre compte qu’il envahit toute son existence. Elle résiste aux tentatives de Nira de l’associer à sa quête jusqu’à ce que son monde s’écroule et sa relation à sa famille se disloque. Elle entreprend, elle aussi, d’affronter sa peur, ses questions sans réponses, cette blessure qui ne s’est jamais cicatrisée. (…)
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