Choe-ak-ui Haru

Cinéma / KinoCulture / Kultur

Lucarne sur le cinéma indépendant coréen au Kino Babylon- Mitte de Berlin

La Corée du Sud est traditionnellement une terre cinématographique très productive. Pendant longtemps la majorité des films était destinés au marché local, (…).
Depuis une dizaine d’années, le cinéma coréen voit émerger un cinéma plus indépendant, avènement qui correspond à un changement de politique économico-culturelle, imposé en 2006 par les États-Unis dans le cadre d’un accord général de libre-échange : alors qu’auparavant un quota obligeait les salles coréennes à diffuser 146 jours par an des films nationaux, le quota est tombé à 73 jours. Dans un premier temps, la production sud-coréenne a drastiquement été réduite, mais comme souvent dans le domaine de la culture quand il est en crise, de nouvelles idées émergent avec une nouvelle génération de créateurs.
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