Locarno 2025: Spotlight on African Women’s Filmmaking
Locarno 2025 : spotlights on female creation in Africa. Interviews with Priscillia Kounkou Hoveyda and Patience Nitu Nimwesiga. (…)
Read Morelifestyle & responsible citizenship
Locarno 2025 : spotlights on female creation in Africa. Interviews with Priscillia Kounkou Hoveyda and Patience Nitu Nimwesiga. (…)
Read MoreCette plateforme internationale d’ateliers et de coproduction présente six projets de longs métrages en développement, à la recherche de collaborations. Au cœur du festival tessinois, les équipes de cinéastes et de producteur·rices échangent avec des partenaires potentiel·les lors de rencontres et d’ateliers dédiés.
Structuré sur trois mois (juin-juillet en ligne, puis du 7 au 12 août 2025 à Locarno), le programme débute par un coaching préparatoire. Malgré des emplois du temps chargés, les participant·es rencontré·es ont unanimement salué l’opportunité offerte. (…)
Open Doors’ ultimate goal is to foster a more collaborative, borderless global film community while strengthening the sustainability of independent cinema.
Since 2003, this initiative has supported filmmakers in regions where independent production faces significant challenges, building bridges across continents. Through its public and professional programs, Open Doors creates a nurturing space for talent at every stage of their creative journey—a forum where free expression fuels debate and reinvents contemporary cinema. (…)
La section compétitive Cinéastes du présent offre une plateforme dédiée aux premiers et deuxièmes longs métrages, servant également de laboratoire d’expérimentation de nouveaux langages cinématographiques et de révélation de talents émergents. The Fin du jeune cinéaste coréen Syeyoung Park (par ailleurs scénariste, directeur de la photographie, co-monteur et co-producteur du film) s’inscrit parfaitement dans cette veine, avec un budget modeste – moins de 20’000 euros – qui lui permet d’explorer toutes les possibilités techniques et créatives qu’ouvre paradoxalement la contrainte financière, exacerbant ainsi sa liberté. (…)
Read MorePrésenté en Compétition internationale au Festival de Locarno 2025, With Hasan in Gaza de Kamal Aljafari n’est pas qu’un film : c’est un sursaut de mémoire, une résurrection fragile d’un monde à présent en ruine. Conçu à partir de trois cassettes MiniDV tournées en 2001 et miraculeusement redécouvertes en pleine destruction de Gaza, ce documentaire est autant un poème qui transcende le simple témoignage qu’une archive à brûle-pourpoint. (…)
Read MorePar un samedi de juin ensoleillé et radieux, Jean Liermier a dévoilé avec fougue et une énergie communicative, lors de trois présentations consécutives, le programme de la prochaine saison du théâtre.
Alors qu’en ce samedi 14 juin, la grève féministe, placée sous le signe du respect et de l’obtention de la parité, bat son plein dans les rues de la Cité de Calvin, d’aucuns ont choisi de se rendre à Carouge pour découvrir le menu de la nouvelle saison du théâtre. Toute personne ayant assisté aux présentations de saison du Théâtre de Carouge savent qu’il s’agit d’un spectacle en soi. Peaufiné, élaboré avec soin dans les moindres détails, faisant la part belle à toute l’équipe du théâtre qui œuvre à l’accueil, dans les arcanes du théâtre et en coulisses, offrant un véritable feu d’artifices au public venu en nombre cette année à nouveau. (…)
Die Herausforderung des Schweizer Regisseurs Thomas Imbach besteht darin, die stilistische Modernität von Arthur Schnitzlers Meisterwerk Fräulein Else (1924), einem Juwel der österreichischen Literatur, ins Kino zu übertragen. Berühmt für seinen inneren Monolog, taucht die Novelle die Leserschaft in die gequälte Psyche der Heldin ein und enthüllt Widersprüche, Ängste und Triebe mittels eines revolutionären Bewusstseinsstroms. Imbach, im Geiste des Brechtschen Verfahrens, das die Illusion des Realismus brechen will, vereint diese doppelte Modernität: jene der tragischen Introspektion und der schnitzlerschen Psychologie, aber auch jene der technischen Möglichkeiten des zeitgenössischen Kinos. Das Ergebnis ist atemberaubend! (…)
Read MoreLe défi relevé par le réalisateur suisse Thomas Imbach consiste à transposer la modernité stylistique du chef-d’œuvre d’Arthur Schnitzler, Fräulein Else (1924), joyau de la littérature autrichienne. Célèbre pour son monologue intérieur, la nouvelle plonge le lectorat dans la psyché tourmentée de l’héroïne, révélant contradictions, angoisses et pulsions via un flux de conscience révolutionnaire. Imbach, dans la veine du procédé brechtien qui vise à rompre l’illusion du réalisme, épouse cette double modernité : celle de l’introspection tragique et de l’analyse psychologique schnitzlérienne, mais aussi celle des possibilités techniques du cinéma contemporain. Le résultat est époustouflant ! (…)
Read MoreDocumentaries about the war in Ukraine abound. Yet fictional films addressing this conflict remain scarce. Perhaps they will multiply once the war ends, as often occurs with past conflicts. However, in her debut feature Honeymoon (Medovye misiats), Ukrainian filmmaker Zhanna Ozirna chooses not to wait, instead filming war amid its eye of the storm. She seizes this subject matter through a radical cinematic gesture: reducing war to an apartment, two bodies, waiting. Ozirna explores the mental states of civilians abruptly engulfed by invasion: denial of warning signs, shock, survival instinct, and that astonishing human capacity for adaptation in the face of inhumanity. (…)
Read MoreRapaces entraîne le public aux côtés de Samuel (Sami Bouajila), journaliste, et Ava (Mallory Wanecque), sa fille et stagiaire, qui couvrent pour leur magazine le meurtre d’une jeune fille attaquée à l’acide. La rédaction de ce journal à sensation a un effectif réduit composé de Christian (Jean-Pierre Darroussin), le vieux limier de l’équipe, de Solveig (Valérie Donzelli), d’Elizabeth (Andréa Bescond) et d’Aubin (Stefan Crepon) qui couvrent toua les faits divers de l’Hexagone. (…)
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