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Korea Independant – Das Festival Für koreanische Independant- und Dokumentarfilm 20.-27.09. im Babylon-Mitte

19 septembre 2017 Malik Berkati 2 min read Babylon Mitte, Bamseom Pirates Seoul Inferno, Boxkampf, Breathing Underwater, Crybaby Boxing Club, Dokumentarfilm, Haenyo, Japan, Joseon-Schools, Korea Independant, LGBT, Lost to Shame, Our Love Story, punk, Sound of Nomad: Koryo Arirang, Sowjetunion, Spielfilm, Steel Flower, Südkorea, Worst Woman

[Den ausführlichen Bericht von mit Filmfritiken finden Sie hier (auf Französisch)]

Vom 20. bis 27. September findet das Festival Korea Independent im Babylon statt. Insgesamt acht Filme werden gezeigt: Vier Dokumentarfilme und vier Independent-Filme. Der Eröffnungsfilm: Steel Flower, ausgezeichnet mit dem Preis der Jury auf dem 14. Festival International du Film de Marrakech: Der Jury-Vorsitzende, der Regisseur Francis Ford Coppola urteilte: „Ein sehr neuartiges und schönes Werk. … Das war eine sehr emotionale Erfahrung“.
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Cinéma / Kino Culture / Kultur

Lucarne sur le cinéma indépendant coréen au Kino Babylon- Mitte de Berlin

18 septembre 2017 Malik Berkati 17 min read A Crybaby Boxing Club, Bamseom Haejeokdan Seoul Bulbada, Bamseom Pirates Seoul Inferno, boxe, Breathing Underwater, Bunjang, Choe-ak-ui Haru, cinéma indépendant, Corée du sud, documentaires, E Il-ha, films de fiction, Haenyo, Jang Sung-gun, Japon, Jeong Ha-dam, Joseon-Schools, Jung Yoon-suk, Kim Jong-kwan, Kim So-young, kino babylon mitte, Koh Hee-young, Korea Independant, Koryo Arirang: Cheonsan-ui Diba, Kwon Yong-man, Lee Hyun-ju, LGBT, Lost to Shame, Mulsum, Nam Yeon-woo, Our Love Story, Park Jung-geun, Park Suk-young, République de Corée, Sound of Nomad: Koryo Arirang, Steel Flower, Ulbo Kwontubu, Union soviétique, Worst Woman, Yeon-e-Dam

La Corée du Sud est traditionnellement une terre cinématographique très productive. Pendant longtemps la majorité des films était destinés au marché local, (…).
Depuis une dizaine d’années, le cinéma coréen voit émerger un cinéma plus indépendant, avènement qui correspond à un changement de politique économico-culturelle, imposé en 2006 par les États-Unis dans le cadre d’un accord général de libre-échange : alors qu’auparavant un quota obligeait les salles coréennes à diffuser 146 jours par an des films nationaux, le quota est tombé à 73 jours. Dans un premier temps, la production sud-coréenne a drastiquement été réduite, mais comme souvent dans le domaine de la culture quand il est en crise, de nouvelles idées émergent avec une nouvelle génération de créateurs.
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