Archives des Une affaire de famille

#FFMUC 2018 : 36e édition du Filmfest München – Un large spectre sur le cinéma indépendant actuel

7 juillet 2018 Malik Berkati 6 min read 9 doigts, A genoux les gars, A Tiger in Winter, Ali Abbasi, Alice Rohrwache, Ammore e malavita, Aneesh Chaganty, Annekatrin Hendel, Antoine Desrosières, Antonio Manetti, Anup Singh, As boas maniera, Ash is purest white, Bàoxuě jiāng zhì, Bergman - A Year in a Life, Bergman — ett år ett liv, Border, Burning, Candelaria, Chen Wu, Christian Frosch, cinéma indépendant, Dà fó pǔ lā sī, Dong Yue, F.J. Ossang, Familie Brasch, Ferzan Ozpetek, festival du film de Munich, FFMUC 2018, Filmfest München, Foxtrot, Ga'agua, Gianni Zanasi, Gräns, Heureux comme Lazzaro, Hirokazu Kore-eda, Ho-rang-e-bo-da mu-seo-un gyu-ul-son-nim, Huang Hsin-yao, iānghú érnǚ, Ingmar Bergman - une année dans une vie, Jaime Rosales, Jane Magnusson, Jhonny Hendrix Hinestroza, Jia Zhang-ke, Juliana Rojas, Jusqu'à la garde, l'Insulte, Laura Mora Ortega, Lazzaro felice, Lee Chang-Dong, Lee Hwan, Lee Kwang-kuk, Les bonnes manières, Les Éternels, Les Gardiennes, Longing, Manbiki Kazoku, Marco Dutra, Marco Manetti, Matar a Jesús, Murer – Anatomie eines Prozesses, Nabil Ayouch, Napoli velata, Park Hwa-young, Petra, Razzia, Samuel Maoz, Savi Gabizon, Searching, Shoplifters, Silent Mist, The Great Buddha +, The looming storm, The Song of Scorpions, Troppa grazia, Une affaire de famille, Xavier Beauvois, Xavier Legrand, Zhang Miaoyan, Ziad Doueiri

Le festival du film de Munich, qui fêtait cette année son 36e anniversaire, est le second festival allemand en importance après la Berlinale. Très convivial, très ouvert au public – comme tous les festivals allemands, y compris la Berlinale – le Filmfest München offre chaque année une large palette de films dans de nombreuses sections et genres, y compris deux sections « séries » qui ne sauraient manquer aux festivals contemporains. La seule partie manquante est peut-être celle de la VR (Virtual Reality), nouvelle mode des festivals, même si tout de même le FFMUC a dédié une conférence de deux jours au sujet.
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Brève / Kurznachricht Cannes 2018 Cinéma / Kino Culture / Kultur

Cannes 2018 – Palmarès du 71e Festival de Cannes

20 mai 2018 Redaction 1 min read 3 Faces, 3 visages, Alice Rohrwacher, Ayka, BlacKkKlansman, Caméra d'or, Cannes 2018, Capharnaüm, Cate Blanchett, Cold war, Dogman, festival de cannes, Girl, Grand prix, Heureux comme Lazzaro, Hirokazu Kore-eda, Jafar Panahi, Jean-Luc Godard, jury, Lazzaro felice, Le livre d'image, Lukas Dhont, Manbiki Kazoku, Marcello Fonte, Matteo Garrone, meilleur acteur, meilleur réalisateur, meilleur scénario, meilleure actrice, Nadnie Labaki, Palmarès, Palme d'or, Pawel Pawlikowski, plame d'or spéciale, Prix du jury, Samal Yeslyamova, Se Rokh, Sergey Dvortsevoy, Spike Lee, Une affaire de famille, Zimna wojna

Le Jury des Longs Métrages, présidé par Cate Blanchett, a primé : Palme d’Or: Une affaire de famille (Manbiki Kazoku)

Cannes 2018 Cinéma / Kino Culture / Kultur

Cannes 2018 : Hirokazu Kore-eda revient sur la Croisette avec Une affaire de famille (Manbiki Kazoku), en sélection officielle, une histoire à la fois lumineuse et triste autour de sa thématique de prédilection

15 mai 2018 Firouz Pillet 3 min read adoption, Cannes 2018, compétition officielle, festival de cannes, Hirokazu Kore-eda, Japon, Jyo Kairi, Manbiki Kazoku, Matsuoka Mayu, pauvreté, Tokyo, Une affaire de famille

Hirokazu Kore-Eda est un habitué de la Croisette puisque sept de ses films ont été sélectionnés au Festival de Cannes : Distance en 2001 (en compétition officielle), Nobody Knows en 2004 (en compétition officielle), Air Doll en 2009 (dans la section Un certain regard), Tel père, tel fils en 2013 (en compétition officielle), Notre petite sœur en 2015 (en compétition officielle), Après la tempête en 2016 (à Un certain regard) et Shoplifters en 2018 (en compétition officielle).

Remarqué pour son approche novatrice, non spectaculaire et qui s’apparente quasiment au documentaire, Hirokazu Kore-Eda propose un cinéma de fiction qui apporte une dimension sociologique et anthropologique sur la société japonaise. Le cinéaste nippon poursuit son exploration de thèmes familiers telles les relations familiales : ici, il est question de filiation, de la famille que l’on a par naissance et celle que l’on choisit. Comme à son habitude, Hirokazu Kore-Eda dépeint par touches délicates et subtiles ses personnages, avec une sobriété dans le dispositif et authenticité des moindres éléments.
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