Archives des Les ailes du désir

La plateforme de streaming suisse Filmingo rend hommage à l’acteur suisse décédé en 2019, Bruno Ganz, qui aurait fêté ses 80 ans le 22 mars de cette année

18 mars 2021 Malik Berkati 3 min read Alain Tanner, Bruno Ganz, Christian Labhart, Dans la ville blanche, Der Himmel über Berlin, filmingo, filmingo.ch, Fortuna, Fredi M. Murer, Germinal Roaux, Giovanni Segantini, Hommage, Jacob Berger, L’éternité et un jour, Les ailes du désir, Pane e tulipani, Potsdamer Platz, Sally Potter, Satte Farben vor Schwarz, Silvio Soldini, Sophie Heldmann, The Party, Theo Angelopoulos, Un juif pour l’exemple, VàD, Vitus, VOD

Acteur de théâtre et de cinéma mondialement connu, Bruno Ganz nous quittait, dans un dernier clin d’œil plein de poésie, le dernier jour de la Berlinale 2019 inondé de soleil après plusieurs jours de grisaille, enrobant dans un écrin glacé et sec, mais lumineux à faire jaillir les larmes et les doux sourire de la nostalgie, la Potsdamer Platz, cœur battant du festival mais également lieu mythique sur lequel les deux anges des Ailes du désir (Der Himmel über Berlin) veillaient : Bruno Ganz, l’ange Damiel, et Otto Sander, l’ange Cassiel, qui nous avait quittée en 2013. Bruno Ganz était chez lui sur la Potsdamer Platz et à la Berlinale, maintes fois invité, car le grand acteur qu’il était, n’hésitait pas à se frotter à tous les genres du cinéma et à nombre de projets allant de films grand public à du cinéma plus âpre et confidentiel. Célébré dans l’espace germanophone au théâtre, Bruno Ganz avait au cinéma une aura mondiale et le cinéma international ne s’est pas privé de le faire jouer, de grands rôles comme des rôles secondaires qui donnaient l’assurance aux cinéastes d’une incarnation de leurs personnages donnant de l’épaisseur au film dans sa globalité.
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Cinéma / Kino Culture / Kultur Recit / Bericht

Les Ailes du désir – Berlin, si près, si loin

3 décembre 2019 Anne-Christine Loranger 6 min read 1989, Anatole Dauman, Berlin, Berlin-Est, Berlin-Ouest, Bruno Ganz, Chute du Mur, Henri Alekan, Les ailes du désir, Michèle Levieux, Otto Sander, Peter Falk, Peter Handke, Postdammer Platz, Solveig Dommartin, Transflex, Wim Wenders

Le 9 novembre 1989, contre toute attente, tombait le Mur de Berlin. Déjà en 1985, au cœur de la Guerre Froide, un cinéaste avait eu la prémonition des événements à venir et tourna ce qui devait devenir le chant du cygne de Berlin-Ouest, une perle du cinéma mondial et un hymne à l’espoir porté par un immense souffle poétique. Son nom? Wim Wenders. Son film? Les Ailes du désir.
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Berlinale 2019 Cinéma / Kino Culture / Kultur

Palmarès de la 69e Berlinale très clivant!

17 février 2019 Malik Berkati 12 min read Angela Schanelec, Berlinale 2019, Bruno Ganz, cinématographie, Claudio Giovannesi, Di Jiu Tian Chang, Dieter Kosslick, Eltayeb Mahdi, Francesco Di Napoli, François Ozon, Grâce à Dieu, Hans Petter Moland, Helena Zengel, Himmel über Berlin, Ibrahim Shaddad, Ich war zuhause aber, Juliette Binoche, Justin Chang, La paranza dei bambini, Les ailes du désir, Lone Scherfig, Manar Al-Hilo, Maurizio Braucci, Nadav Lapid, Nora Fingscheidt, Ours d'argent, Ours d'or, Out Stealing Horses, Palmarès, photographie, Piranhas, Potsdamer Platz, Prix Alfred-Bauer-Preis pour l’innovation, Prix de la meilleure actrice, Prix de la meilleure contribution technique, Prix de la meilleure réalisation, Prix du meilleur acteur, prix du meilleur documentaire, Prix du meilleur scénario, Rajendra Roy, Rasmus Videbæk, Roberto Saviano, Sandra Hüller, Sebastían Lelio, So Long My Son, Suhaib Gasmelbari, Suliman Ibrahim, Synonymes, Systemsprenger, Talking About Trees, Teddy Award, The Kindness of Stangers, Trudie Styler, Ut og stjæle hester, Wang Xiaoshuai, Wieland Speck

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De manière générale, ne sont ressortis de cette sélection qu’une poignée de bons films, le reste étant de moyen à médiocre, dont le choix incompréhensible de The Kindness of Stangers de Lone Scherfig. Ce film est symptomatique de cette sélection : des films qui seraient très bon ou bon dans un contexte normal de sortie de film mais qui deviennent très moyens en sélection officielle d’une compétition majeure. L’autre marque de cette sélection est l’effet clivant de certains films sur la critique et les festivaliers : cet effet est révélateur d’une certaine vitalité d’un film qui arrive à toucher de manière totalement négative ou positive ses spectateurs, laissant au passage une majorité totalement indifférente à la chose.
En revanche, cette édition a été celles des performances techniques avec beaucoup de prétendants à la meilleure cinématographie, d’excellents travaux de montage et de belles performances sonores.
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