Un chinois universaliste, un norvégien à l’humour noir, un français de 91 ans
Il ressort de cette journée de compétition une recherche d’originalité dans le générique. Tui Na reprend les codes de la
Read Morelifestyle & responsible citizenship
Il ressort de cette journée de compétition une recherche d’originalité dans le générique. Tui Na reprend les codes de la
Read MoreAn der Journalistin, die ihm sagte: Sie haben kürzlich eine Auszeichnung für Ihre gesamte Karriere erhalten. Es ist toll Sie
Read MoreSchwule Fussballer sind dieser Tage ja ungemein angesagt als Thema öffentlicher Diskussion, insofern kann man dem ungarischen Regisseur Ádám Császi
Read MoreLes programmateurs de ce dimanche de Berlinale ont dû bien s’amuser à établir leur grille de la compétition : à 9
Read MoreGet the script right – the text must be perfect -, and then get the rights actors: that’s the condition
Read MoreWhen I saw the book, I thought that this topic would be ideal to go to the Fox and tell
Read MoreUne distribution digne de Ocean’s 11 et suite numérotée, avec cette fois-ci Cate Blanchett dans le rôle « de la fille »… qui joue une Française ! Ceci dit, il est plus agréable de voir Cate Blanchett qu’une énième fois cette année Léa Seydoux…
À la base, une histoire vraie, adaptée du livre de Robert Edsel, Monuments Men, relatant les aventures d’un groupe d’experts en art partis sur le front à la fin de la Deuxième guerre mondiale sauver des chefs-d’œuvre volés par les nazis.
(…)
Un film historique sur la vie amoureuse du poète Friedrich von Schiller qui dure 170 minutes en compétition. Cela sentait
Read MorePour comprendre la genèse de la violence dans certaines parties du monde actuel, pour ceux qui n’auraient pas lu Les
Read MoreLe deuxième jour de compétition a débuté avec un film allemand, Jack, que l’on peut mettre dans la catégorie des long-métrages ennuyeux mais stressant. Ennuyeux car chaque rebondissement est prévisible, voire chaque scène, mais stressant car tout est fait – et filmé – dans un sentiment d’urgence, de course éperdue qui n’en finit jamais… si ce n’est avec le générique de fin ou plutôt, soyons honnête, sur la dernière image. Il y avait Cours Lola Cours, il y a maintenant un petit garçon de 11 ans qui s’occupe de son frère car sa mère est trop prise par sa propre vie et sa recherche du bonheur, et qui va courir les rues de Berlin à la recherche de cette mère que lui ne veut pas abandonner. Deux éléments intéressants tout de même dans le scénario : la mère n’est ni droguée, ni alcoolique, ni en souffrance particulière, c’est une jeune femme tout à fait ordinaire, simplement trop jeune ; l’autre élément est le périple de trois jours des très jeunes enfants dans la métropole, course qui paraît improbable… et pourtant reflet d’une réalité qu’exacerbent l’anonymat et l’individualisme qui en découle. Le jeune acteur, dont c’est le premier film, est excellent, mais derrière l’acteur, il y a un enfant d’une maturité incroyable. Nous devrions entendre parler de Ivo Pietzcker dans les années qui viennent !
(…)