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Berlinale 2014

Berlinale 2014Cinéma / Kino

Un chinois universaliste, un norvégien à l’humour noir, un français de 91 ans

Il ressort de cette journée de compétition une recherche d’originalité dans le générique. Tui Na reprend les codes de la parole des bandes-annonces des années 40, 50, 60 qui racontent l’histoire et nomment les acteurs dans leurs rôles, Kraftidioten dit tout dans son sous-titre : In Order of Disappearance, Aimer boire et chanter pose de gros rectangles noirs avec le nom des acteurs en blanc au milieu d’images de campagne. Générique, dernier lieu de l’innovation ? (…)

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Berlinale 2014Cinéma / Kino

Viharsarok – ein ungarisch-deutscher Versuch über homosexuelle Emanzipaton, wo sie noch das Gegenteil von selbstverständlich ist

Schwule Fussballer sind dieser Tage ja ungemein angesagt als Thema öffentlicher Diskussion, insofern kann man dem ungarischen Regisseur Ádám Császi zumindest ein Trendbewusstsein nicht absprechen, macht er doch genau so jemanden, einen homosexuellen Kicker, zum tragischen Helden und Mittelpunkt seines Films. Es ist der erste Spielfim des Ungars, dessen Biographie zwei Kurzfilme, sowie Musikvideos und Werbung umfasst. (…)

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Berlinale 2014Cinéma / Kino

De la via Dolorosa à Nymphomaniac

Les programmateurs de ce dimanche de Berlinale ont dû bien s’amuser à établir leur grille de la compétition : à 9 heures un film sur des tenants  de la  Fraternité sacerdotale Saint-Pie X, Kreuzweg, à 12 heures Nymphomaniac Vol. I version longue et à 16 heures un film argentin incompréhensible dont nous ne parlerons pas, Historia del miedo . Cela peut paraître très contrasté, à vrai dire c’est assez bien ordonné: après tout, chacun porte sa croix… (…)

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Berlinale 2014Cinéma / KinoCulture / Kultur

Berlinale 2014 – Quote of the day: Dietrich Brüggemann – The magic of an one-take film

Get the script right – the text must be perfect -, and then get the rights actors: that’s the condition to succeed the shooting with an immobile camera. Everyone reduces his ego to the service of the film. That’s the magic of an one-take film. (…)

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Berlinale 2014Cinéma / KinoCulture / Kultur

The Monuments Men : un mausolée cinématographique à la gloire des États-Unis !

Une distribution digne de Ocean’s 11 et suite numérotée, avec cette fois-ci Cate Blanchett dans le rôle « de la fille »… qui joue une Française ! Ceci dit, il est plus agréable de voir Cate Blanchett qu’une énième fois cette année Léa Seydoux…
À la base, une histoire vraie, adaptée du livre de Robert Edsel, Monuments Men, relatant les aventures d’un groupe d’experts en art partis sur le front à la fin de la Deuxième guerre mondiale sauver des chefs-d’œuvre volés par les nazis.
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Berlinale 2014Cinéma / Kino

Le Sturm und Drang mis à l’épreuve d’un ménage à trois

Un film historique sur la vie amoureuse du poète Friedrich von Schiller qui dure 170 minutes en compétition. Cela sentait le film difficile à supporter lors d’une projection à 8h30 du matin. Eh bien non, comme on le dit chez nous, nous avons été surpris en bien. Certes, le film est extrêmement classique, mais d’une très belle facture avec des acteurs parfaitement convaincants dans leurs rôles. (…)

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Berlinale 2014Cinéma / KinoCulture / Kultur

Berlinale 2014: L’éternel premier film de Rachid Bouchareb

Le deuxième jour de compétition a débuté avec un film allemand, Jack, que l’on peut mettre dans la catégorie des long-métrages ennuyeux mais stressant. Ennuyeux car chaque rebondissement est prévisible, voire chaque scène, mais stressant car tout est fait – et filmé – dans un sentiment d’urgence, de course éperdue qui n’en finit jamais… si ce n’est avec le générique de fin ou plutôt, soyons honnête, sur la dernière image. Il y avait Cours Lola Cours, il y a maintenant un petit garçon de 11 ans qui s’occupe de son frère car sa mère est trop prise par sa propre vie et sa recherche du bonheur, et qui va courir les rues de Berlin à la recherche de cette mère que lui ne veut pas abandonner. Deux éléments intéressants tout de même dans le scénario : la mère n’est ni droguée, ni alcoolique, ni en souffrance particulière, c’est une jeune femme tout à fait ordinaire, simplement trop jeune ; l’autre élément est le périple de trois jours des très jeunes enfants dans la métropole, course qui paraît improbable… et pourtant reflet d’une réalité qu’exacerbent l’anonymat et l’individualisme qui en découle. Le jeune acteur, dont c’est le premier film, est excellent, mais derrière l’acteur, il y a un enfant d’une maturité incroyable. Nous devrions entendre parler de Ivo Pietzcker dans les années qui viennent !
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