Cannes Première

Cannes 2024Cinéma / KinoCulture / Kultur

Cannes 2024 : C’est pas moi, de Leos Carax, présenté à Cannes Premières, invite à suivre les réflexions du cinéaste dans un court métrage introspectif

Dans son nouveau film, sous format libre et réparti en plusieurs chapitres, le cinéaste français parvient à dire beaucoup de choses dans un autoportrait, qui revisite plus de quarante ans de la filmographie de Leos Carax en questionnant les grandes questions de l’existence, de la sienne comme de celles de l’humanité. (…)

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Cannes 2023Cinéma / KinoCulture / Kultur

Cannes 2023 : Kubi, de Takeshi Kitano, présenté à Cannes Première, plonge le public dans une épopée guerrière de samouraïs retors et queer

Inspiré de l’adaptation de l’ouvrage éponyme que Takeshi Kitano a signé en 2019, Kubi conte les aventures d’un seigneur de guerre pervers et de ses officiers tout aussi captieux. (…)

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Cannes 2023Cinéma / KinoCulture / Kultur

Cannes 2023 : L’Amour et les Forêts, de Valérie Donzelli, présenté à Cannes Première, traite avec maestria le terrible sujet de l’emprise au sein d’un couple

Présenté à Cannes Première, L’Amour et les Forêts, de Valérie Donzelli, est l’adaptation du roman d’Eric Reinhardt, publié chez Gallimard en 2014 et qui a obtenu les prix Renaudot des lycéens et du roman France Télévisions en 2014. (…)

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Cannes 2023Cinéma / KinoCulture / Kultur

Cannes 2023 : Bonnard Pierre et Marthe, de Martin Provost, présenté à Cannes Première, retrouve les portraits d’artistes dans lesquels il excelle en proposant à Cannes un biopic romantique sur la vie de couple des deux artistes français

(…) Le film retrace sur cinq décennies la vie et l’œuvre du peintre français Pierre Bonnard (1867-1947) de son épouse Martha de Méligny (1869-1942), née Maria Boursin avant de devenir Marthe Bonnard (1869-1942), et également devenue artiste après sa rencontre avec Pierre. Celui que son pays natal surnommait  « le peintre du bonheur » a fait le portrait de son épouse, une aristocrate autoproclamée, dans plus d’un tiers de ses tableaux. (…)

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Cannes 2022Cinéma / KinoCulture / Kultur

Cannes 2022 : La Nuit du 12, de Dominik Moll, présenté dans la sélection Cannes Première, prouve une nouvelle fois le talent du cinéaste

À la PJ, chaque enquêteur tombe un jour ou l’autre sur un crime qu’il n’arrive pas à résoudre et qui le hante. Pour Yohan (Bastien Bouillon), c’est le meurtre de Clara à Saint-Laurent-de-Maurienne. Les interrogatoires se succèdent, les suspects ne manquent pas, d’autant plus que les aventures de la jeune fille étaient nombreuses. Les petits amis à interroger sont légion et les doutes de Yohan ne cessent de grandir. Une seule chose est certaine, le crime a eu lieu la nuit du 12. Son ami et collègue Marceau (Bouli Lanners) lui dit que chaque enquêteur traîne un cas irrésolu comme un fardeau qui le poursuit toute sa carrière, voire toute sa vie. (…)

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Cannes 2022Cinéma / KinoCulture / Kultur

Cannes 2022 : Chronique d’une liaison passagère, d’Emmanuel Mouret, propose une carte du Tendre contemporaine

Charlotte (Sandrine Kiberlain), une mère célibataire et un homme marié, Simon (Vincent Macaigne), deviennent amants. Les conditions de leur relation sont claires dès le début, du moins, le pensent-ils … Tous deux s’engagent à ne se voir que pour le plaisir et à n’éprouver aucun sentiment amoureux, ils sont de plus en plus surpris par leur complicité… Leur relation est « facile », du moins c’est ainsi qu’il la présente à leurs proches.
Simon, marié depuis vingt ans, culpabilise de tromper sa femme mais trouve un regain de jeunesse et de sexualité avec Charlotte. Cette dernière, divorcée, vit très librement au gré des rencontres. Au fil de leurs rendez-vous galants, Simon, qui avait d’emblée parler de sa femme et de ses enfants à Charlotte, découvre qu’elle a un fils aîné et une fille qui étudient à Lille et un fils benjamin qui vit avec elle. (…)

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Cannes 2022Cinéma / KinoCulture / Kultur

Cannes 2022 : La série Esterno notte de Marco Bellochio, projetée en sélection officielle, retrace l’assassinat d’Aldo Moro par les Brigades rouges en 1978

La projection de quelque cinq heures, divisée en deux passages par un bref entracte, de la série de Marco Bellochio et de son équipe sur la scène de la Salle Debussy, sème des indices parmi les images et les débris sonores, recréant la violente réalité des années septante dans la péninsule italienne. Dès la première séquence, le temps semble s’être suspendu alors que l’assemblée italienne se réunit pour prendre des décisions face à la menace que font peser les Brigades rouges. La caméra suit le Président des chrétiens-démocrates, Aldo Moro (Fabrizio Gifuni) qui sait la menace mais refuse d’être privilégié et d’avoir une voiture blindée. On suit Il Presidente auprès de sa famille – sa femme Eleonora (Margherita Buy) et leurs enfants Fida, Agnese, Giovanni, Anna – et lors de ses discussions avec le Pape Jean-Paul 1er (Toni Servillo). Avec dextérité et justesse, Marco Bellocchio fait se côtoyer répertoire et décor, réalité et mise en scène. (…)

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