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Justine Triet

Cinéma / KinoCulture / KulturRecit / Bericht

Prix Lumières für Sandra Hüller und Anatomie eines Falls

Auch das französische Kinojahr in Deutschlands steht im Zeichen starker Frauen !
Sandra Hüller kann sich jetzt auch über den Prix Lumière, den Preis der Auslandspresse in Paris, freuen. Sie wurde von den Kolleginnen und Kollegen für ihre brillante Performance in Anatomie eines Falls (Anatomie d’une chute) als beste Schauspielerin ausgezeichnet und schlug dabei sogar die grosse Catherine Deneuve. (…)

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Cinéma / KinoCulture / Kultur

Anatomie d’une chute – Le saut quantique du cinéma de Justine Triet

(…) La réalisatrice aime écrire des rôles d’avocat∙es et de psychanalystes. Dans Anatomie d’une chute, elle casse le moule de son inspiration pour en faire une autre proposition : l’histoire se déroule dans l’univers judiciaire que la cinéaste aime tant (lorsqu’elle étudiait aux Beaux-Arts, elle passait beaucoup de temps dans les tribunaux pour être en contact avec le réel), mais ce n’est plus un personnage qui incarne la psychanalyse, c’est sa caméra qui dissèque la mémoire, la réalité vs. la vérité, la discrépance entre les différentes versions d’un événement, selon qui en parle. (…)

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Cannes 2023Cinéma / KinoCulture / Kultur

Cannes 2023 : Le film Anatomie d’une Chute, de Justine Triet, en compétition, propose un film à suspense qui imbrique les pistes comme les pièces d’un puzzle

Après La Bataille de Solférino (2013), Victoria (2016) et Sybil (2019), Justine Triet signe son quatrième long-métrage en mettant en scène un film fleuve, tenu par un suspense à strates multiples, sur un couple et la judiciarisation de leur sphère privée intime. (…)

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Cannes 2019Cinéma / KinoCulture / Kultur

Cannes 2019 – Sibyl de Justine Triet: de la psychanalyse sous vide en compétition

Soyons justes, le film n’a pas que des défauts : il permet de réaffirmer le talent de deux actrices – la belge Virginie Efira et l’allemande Sandra Hüller.
Une fois ceci posé, on ne peut que se demander comment ce film de Justine Triet a pu atterrir dans la sélection de la compétition officielle. Tout y est insupportable, que ce soit le scénario invraisemblable, les dialogues navrants, le jeu d’Adèle Exarchopoulos  – on en souffre d’autant plus que le contraste avec celui des deux actrices précitées est cruel, quoique nous pouvons lui reconnaître une qualité que l’on retrouve régulièrement dans ses rôles : une prédisposition naturelle aux sanglotements et à la moue – , la charge caricaturale de tous les personnages, Éros et Thanatos scandés par des scènes de sexe cathartiques…
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