Berlinale 2014 – “Même dans l’endroit le plus froid de la terre, le pardon peut vous apporter la chaleur”
La réalisatrice Claudia Llosa, nièce de l’écrivain Mario Vargas Llosa et du cinéaste Luis Llosa, revient en compétition cette année
Read Morelifestyle & responsible citizenship
La réalisatrice Claudia Llosa, nièce de l’écrivain Mario Vargas Llosa et du cinéaste Luis Llosa, revient en compétition cette année
Read MoreJe le dis toujours : une scène peut sauver un film ! Nombre de personnes ne sont pas d’accord avec cette allégation. Et pourtant, je ne cesse de l’expérimenter positivement. Encore deux fois dans ce 6e jour de festival, le presque allant au 3e film que j’ai quand même vu jusqu’au bout : comment savoir que celui-ci n’était pas repêchable avant le dernier plan ?
Le film brésilien Praia do futuro aura certainement un prix dans le jury indépendant du Teddy Award, c’est à peu près tout ce que l’on peut en dire.
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Schwule Fussballer sind dieser Tage ja ungemein angesagt als Thema öffentlicher Diskussion, insofern kann man dem ungarischen Regisseur Ádám Császi
Read MoreGet the script right – the text must be perfect -, and then get the rights actors: that’s the condition
Read MoreUne distribution digne de Ocean’s 11 et suite numérotée, avec cette fois-ci Cate Blanchett dans le rôle « de la fille »… qui joue une Française ! Ceci dit, il est plus agréable de voir Cate Blanchett qu’une énième fois cette année Léa Seydoux…
À la base, une histoire vraie, adaptée du livre de Robert Edsel, Monuments Men, relatant les aventures d’un groupe d’experts en art partis sur le front à la fin de la Deuxième guerre mondiale sauver des chefs-d’œuvre volés par les nazis.
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Le deuxième jour de compétition a débuté avec un film allemand, Jack, que l’on peut mettre dans la catégorie des long-métrages ennuyeux mais stressant. Ennuyeux car chaque rebondissement est prévisible, voire chaque scène, mais stressant car tout est fait – et filmé – dans un sentiment d’urgence, de course éperdue qui n’en finit jamais… si ce n’est avec le générique de fin ou plutôt, soyons honnête, sur la dernière image. Il y avait Cours Lola Cours, il y a maintenant un petit garçon de 11 ans qui s’occupe de son frère car sa mère est trop prise par sa propre vie et sa recherche du bonheur, et qui va courir les rues de Berlin à la recherche de cette mère que lui ne veut pas abandonner. Deux éléments intéressants tout de même dans le scénario : la mère n’est ni droguée, ni alcoolique, ni en souffrance particulière, c’est une jeune femme tout à fait ordinaire, simplement trop jeune ; l’autre élément est le périple de trois jours des très jeunes enfants dans la métropole, course qui paraît improbable… et pourtant reflet d’une réalité qu’exacerbent l’anonymat et l’individualisme qui en découle. Le jeune acteur, dont c’est le premier film, est excellent, mais derrière l’acteur, il y a un enfant d’une maturité incroyable. Nous devrions entendre parler de Ivo Pietzcker dans les années qui viennent !
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Emmanuelle Bercot et Catherine Deneuve hilares en essayant de comprendre la question d’un collègue Ukrainien qui dans un anglais approximatif
Read MoreEthan, Julie and I, we have no idea by now if we are going to do further. Richard Linklater, about
Read MoreEncore un film en compétition qui se concentre sur la terre, comme Promised Land ou le western allemand Gold (de Thomas Arslan), et la lutte permanente de l’être humain avec elle. Alors que les deux derniers forment une sorte de boucle dans le Nouveau Monde avec la conquête de la terre commençant par l’appropriation des terres des Premières Nations et finissant par l’appropriation du sous-sol par les compagnie d’exploitation de gaz de schiste, le film russe – dernière partie d’une trilogie – reflète l’économie de la Russie rurale, bien loin des grands centres politiques de Moscou et St. Petersburg.
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Film très attendu dans la compétition de cette année, le film écrit, joué et produit par Matt Damon et John Krasinski, réalisé par Gus Van Sant ne tient malheureusement pas toutes ses promesses. Drame social sur fond de préoccupation écologique, un casting de rêve avec en sus des pré-cités, Frances McDormand, Rosemarie DeWitt, Hal Holbrook, un réalisateur culte du cinéma indépendant (Drugstore Cowboy, My Own Private Idaho, Even Cowgirls Get the Blues, …) qui réussit également à Hollywood (Good Will Hunting, Harvey Milk, …) ce film avait pourtant tout pour crever l’écran.
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