Archives des Stellan Skarsgård

Berlinale 2019 – Compétition jour #3 : Out Stealing Horses (Ut og stjæle hester), film norvégien de Hans Petter Moland basé sur le bestseller éponyme de Per Petterson

9 février 2019 Malik Berkati 3 min read Berlinale, Berlinale 2019, Bjørn Floberg, Danica Curcic, Hans Petter Moland, Jon Ranes, Norvège, Out Stealing Horses, Pas facile de voler des chevaux, Per Petterson, Stellan Skarsgård, Tobias Santelmann, Ut og stjæle hester

Pas facile de voler des chevaux, le titre français du livre, a été publié en 2003, a reçu de nombreux prix et a été traduit dans une cinquantaine de langues! C’est dire si le réalisateur norvégien Hans petter Moland s’attaquait à un gros morceau littéraire.

Novembre 1999, Trond (Stellan Skarsgård), 67 ans, vit dans l’isolement qu’il s’est imposé et n‘attend vraiment qu’une chose: le nouveau millénaire. À l’arrivée de l’hiver, il fait connaissance d‘un de ses rares voisins, Lars (Bjørn Floberg), et réalise qu’il l’a connu à l’été 1948. Cet été-là, celui de ses 15 ans passé avec son père dans une cabane près d’un fleuve, celui de tous les dangers tant physiques que psychologiques, celui où il a perdu de son enfance.
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Berlinale 2017 Cinéma / Kino Culture / Kultur

Berlinale 2017 – compétition jour #7: Colo / Retour à Montauk (Return to Montauk) / El Bar

15 février 2017 Malik Berkati 9 min read Alejandro Awada, Álex de la Iglesia, Alice Albergaria Borges, Allemagne, Beatriz Batarda, Blanca Suárez, Carmen Machi, Clara Jost, Colo, comédie noire, compétition, crise, Dinis Gomes, El bar, Espagne, film d'horreur, gore, Homo faber, Jackie, Jaime Ordóñes, João Pedro Vaz, Joaquin Climent, Le tambour, Madrid, Manchester By The Sea, Mario Casaa, Max Frisch, Niels Arestrup, Nina Hoss, Portugal, Retour à Montauk, Return to Montauk, Secun de la Rosa, Stellan Skarsgård, Susanne Wolff, Terele Pávez, Teresa Villaverde, terreur, The Bar, Tomás Gomes, Volker Schlöndorff

En cette 7è journée, tout le monde commence à être fatigué, les traits se creusent, les yeux s’enfoncent, les nerfs affleurent. Alors commencer la journée compétition avec un film de plus de deux heures, lent qui plus est, ce n’était pas la meilleure idée qu’ont eu les programmateurs du festival. Le film de midi a été une vraie déception – mine de rien, Schlöndorff était un peu attendu – et celui de l’après-midi, un film réussi dans son genre (la comédie d’horreur) mais à la présence un peu surprenante dans la sélection compétition – même s’il est formellement hors compétition.
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