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FIPADOC – Ist Widerstand möglich? Dutzende Aktivisten leben im Freien, um einen Wald zu schützen

(…) Dutzende vorwiegend jungen Menschen besetzen zwischen Aachen und Köln einen Wald dauerhaft, um den Energiekonzern um RWE daran zu hindern, die Waldflächen abzuholzen, um Grabungsarbeiten zur Kohlegewinnung voranzutreiben, ausgerechnet Kohle, die bereits ganz oben auf der Liste der planetarisch zu vermeidenden Energieträger steht. Die Aktivisten versuchen eine Symbiose mit der Natur zu leben: Ihr Lebensmodell kann nicht Autonomie beanspruchen, aber zumindest ist ihr Verweilen in selbstgefertigten Baumhütten weit ökologischer als das Übliche in gut geheizten Wohnungskammern. Sie wollen durch ihre andauernde Aktion die Gesellschaft zum Umdenken veranlassen, vor allem aber, das Naturgebiet als Lebensort einer Fülle von Lebewesen schützen. (….)

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FIPADOC – Der Traum eines möglichen Lebens im Irak

Es ist schwer vorstellbar und doch wahr. Kurz nach der Vertreibung der ISIS aus dem nördlichen Irak haben 6 Journalisten einen Traum, für dessen Realisierung sie alle Mittel aufbringen: die Gründung einer unabhängige Radiostation mit dem Ziel, alle religiösen und ideologischen Schranken zu überwinden und beizutragen zur Etablierung einer neuen friedlichen Staatsgemeinschaft. Das Projekt soll inmitten der ehemaligen ISIS Hochburg Mossul beginnen. (…)

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Cinéma / KinoCulture / Kultur

Black Movie 2024 – Le Festival international de films indépendant de Genève fête ses 25 ans du 19 au 28 janvier

Dix sections pour 105 films provenant de 44 pays, voilà le programme de cette année-jubilé, avec un invité de marque, le cinéaste taïwanais Tsai Ming-Liang, qui présentera quelques-uns de ses films, offrira une masterclass (20 janvier aux Cinémas du Grüütli à 17h30) et une exposition inédite, Walker, qui sera visible au Commun. (…)

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Cinéma / KinoCulture / Kultur

Sortie romande de Poor Things (Pauvres Créatures), de Yorgos Lanthimos, Lion d’or à la Mostra de Venise 2023

On ne peut lui enlever cela, le réalisateur grec est un virtuose qui explore le cinéma et ses genres ! Après le drame familial Canine (Prix Un Certain regard 2009 à Cannes), la satire fantastique The Lobster (Prix du Jury 2015 à Cannes), le thriller psychologique Mise à mort du cerf sacré (Prix du scénario à Cannes 2027), la comédie historique La Favorite (Grand Prix du Jury à Venise en 2018), qui inaugure son travail avec Emma Stone, Yorgos Lanthimos se fait plaisir avec une histoire extravagante qui lui ouvre les portes de toutes ses envies graphiques de mise en scène, mariant avec jubilation les univers de Frankenstein et Münchhausen. (…)

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Sortie romande de Bonnard Pierre et Marthe, le portrait d’artiste de Martin Provost

Après la comédie La Bonne épouse (2020), Martin Provost revient donc aux portraits artistes, un genre où il se montre toujours très inspiré et très à l’aise : il nous avait donné envie d’en savoir plus sur deux figures artistiques féminines, la peintre Séraphine de Senlis dans Séraphine (2008) et l’écrivaine Violette Leduc dans Violette (2013). Pierre Bonnard ne serait pas le peintre que tout le monde connaît sans l’énigmatique Marthe qui occupe à elle seule presque un tiers de son œuvre … (…)

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Corbeaux et Corneilles – La nature nous observe, de Martin Schilt, révèle l’extrême intelligence des corbeaux et l’étroite relation qui les unit aux êtres humains. Rencontre

Martin Schilt filme au plus près les corbeaux, en particulier des nids avec des oisillons piaillant pour obtenir leur pitance – et montre, entre autres, comment les animaux fabriquent des outils et ont développé une culture étonnante. Diverses personnes qui connaissent les corbeaux sont également sont interrogées dans le film de Martin Schilt : soit parce que ce sont chasseurs qui veulent les faire déguerpir et les éliminer de leurs champs par le truchement de leurres soit parce que ce sont des chercheurs ou spécialistes qui cherchent à mieux comprendre les corbeaux. Grâce aux explications des chercheurs, le public découvre que les corvidés ont beaucoup plus à nous apprendre qu’on pourrait le supposer de prime abord. Au-delà des croassements, le documentaire de Martin Schilt nous dévoile un univers très développé, où la solidarité règne et où l’observation est de mise pour garantir la survie de l’espèce. Rencontre avec le réalisateur bernois Martin Schilt : (…)

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Smoke Sauna Sisterhood : Sueur et énergie vitale. Rencontre avec Anna Hints

Anna Hints, réalisatrice, scénariste et compositrice estonienne, a consacré sept années à l’achèvement de son premier long métrage. La persévérance a payé, Smoke Sauna Sisterhood a remporté de nombreux prix, avec au début de l’année le Prix de la réalisation documentaire de cinéma mondial au Festival du film de Sundance et, en fin d’année, le Prix du cinéma européen du meilleur documentaire ; il représente par ailleurs l’Estonie aux Oscars pour le meilleur film international. Mais le plus étonnant, c’est l’accueil public qui lui a été fait lors de sa tournée des festivals et lors des sorties nationales accompagnées de Premières : de nombreux·ses spectateurs·trices en sortent bouleversé·es, la parole se dénoue et les témoignages affluent vers la réalisatrice et dans les discussions d’après-projection. Car Smoke Sauna Sisterhood touche une corde sensible en explorant des thèmes intimes d’une manière qui résonne avec une large gamme d’expériences humaines, créant ainsi une connexion profonde et significative avec le public d’où qu’il vienne. (…)

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Dans son premier long-métrage Si seulement je pouvais hiberner (If Only I Could Hibernate), la réalisatrice mongole Zoljargal Purevdash se penche sur les conditions de vie difficiles dans le district des yourtes d’Oulan Bator

Présenté dans la section Un certain regard au dernier Festival de Cannes, Si seulement je pouvais hiberner, de Zoljargal Purevdash, présente une fresque sociale poignante que ce titre intrigant ne laisse pas soupçonner.
Ulzii (Battsooj Uurtsaikh), un adolescent pauvre mais fier, vit avec sa fratrie et leur mère dans le district des yourtes d’Oulan-Bator, un quartier défavorisé. Ulzii est un génie en physique et, encouragé et soutenu par son professeur, il est déterminé à remporter un concours scientifique pour obtenir une bourse afin de poursuivre ses études à l’étranger. Sa mère (Ganchimeg Sandagdorj), analphabète, peine à faire vivre ses enfants depuis la mort de son mari. Lorsqu’elle trouve un emploi à la campagne, elle laisse Ulzii s’occuper de ses jeunes frères et sœurs. L’adolescent tente de poursuivre l’école tout en prenant soin de sa fratrie. Les enfants, livrés à eux-mêmes, vont devoir affronter le rude hiver mongol. Adolescent empli d’énergie et d’initiative, Ulzii a foi en la possibilité d’un avenir meilleur et finit par accepter un travail risqué pour s’occuper d’eux afin de pouvoir acheter du charbon pour tempérer la yourte. (…)

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Entretien avec Thomas Obruča, fonctionnaire au ministère fédéral de l’Intérieur autrichien, qui a écrit un livre sur le massacre d’Ahmići

Thomas Obruča a rédigé un livre poignant sur le massacre d’Ahmići, une histoire terrible longtemps ignorée par de nombreux Européens. Depuis deux ans, l’auteur autrichien n’a cessé de promouvoir son ouvrage, Ahmići: die acht Tage des 13jährigen Adnan, dans plusieurs pays, contribuant ainsi à sensibiliser davantage de personnes à cette sombre page de l’histoire.
Le village de Bosnie centrale, situé non loin de Sarajevo, est peuplé majoritairement de musulmans slaves, ainsi que de bosniens catholiques. Le 20 octobre 1992, il est passé sous le contrôle des troupes du Conseil de défense croate HVO et des forces militaires de Herceg-Bosna, qui ont vaincu les troupes de la Défense territoriale TO-bosniaque. Ils ont pris possession de la partie basse du village, habitée par une population mixte. (…)

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Cinéma / KinoCulture / Kultur

Les Herbes sèches de Nuri Bilge Ceylan, une magnifique entrée en matière dans l’année cinématographique 2024 !

(…) Alors que Wong Kar Wai est reconnu comme le maître de la pluie, Nuri Bilge Ceylan se distingue en tant que cinéaste de la neige, qu’il filme comme un élément référentiel transcendant la narration au cœur des régions reculées de Turquie qu’il explore. Aux côtés de Samet (Deniz Celiloğlu), nous plongeons dans un petit village en Anatolie orientale, peuplé de Kurdes et entouré de montagnes. L’hiver s’y abat sévèrement, couvrant tout de son manteau neigeux. L’enseignant affecté à cette région n’aspire qu’à une chose : après ses quatre années obligatoires de service au sein de cette communauté, être muté à Istanbul. Là-bas, il pourra reprendre une vie intellectuelle et artistique à la hauteur de ses aspirations. En attendant, il capture des images des villageois, offrant ainsi au film de magnifiques scènes statiques, presque anthropologiques, où les photographies s’incrustent comme des interludes dans le récit. La photo, capturant l’essence, trouve dans la cinématique un moyen de l’infuser.(…)

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