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Cinéma / KinoCulture / Kultur

Prix du cinéma suisse et Semaine des Nominé·e·s : l’occasion de (re)voir la superbe production suisse 2022 du 20 au 26 mars à Genève et Zurich !

Quelle année pour le cinéma suisse ! Exceptionnelle du point de vue de sa visibilité à l’international dans les festivals comme auprès du public helvétique en salles. Les prix du cinéma suisse sont cette année très ouverts quant aux lauréat·es, tant la concurrence est forte – et salutaire pour l’industrie cinématographique helvétique ! (…)

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Cinéma / KinoCulture / Kultur

Interview with Teona Strugar Mitevska, director of The Happiest Man of the World

Macedonian director Teona Strugar Mitevska, revealed her latest film -The Happiest Man in the World in the Orizzonti section, last year of the Venice Film Festival. Written by cineast and her Sarayevian collaborator Elma Tataragic, who lived this story in reality, the feature is their third scenario. They previously collaborated on When the Day Had No Name and the Berlinale awarded God Exists, Her Name is Petrunya (here is the review of Malik Berkati, in French). Mitevska studied in NYC, at the Tisch School of the Arts. The project’s producer is, for the fifth time, her sister Labina Mitevska, of the Macedonian production company Sisters and Brother Mitevski.
The story follows Asja, 45 years old who is trying to find love and meets Zoran, 46 years old banker. The man is not looking for love, but rather forgiveness from this first war victim back from when he was a Serbian sniper in Sarajevo. The film is a co-production between North Macedonia, Bosnia-Herzegovina, Slovenia, Croatia, Belgium, and Denmark. (…)

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Cinéma / KinoCulture / Kultur

Mon crime, de François Ozon, fait joyeusement revivre les comédies déjantées des années trente

À Paris, dans les années trente, Madeleine Verdier (Nadia Tereszkiewicz), jeune et jolie actrice sans le sou et sans talent, est accusée du meurtre d’un célèbre producteur, Montferrand (Jean-Christophe Bouvet). Aidée de sa meilleure amie Pauline (Rebecca Marder), jeune avocate au chômage, elle est acquittée pour légitime défense. Commence alors une nouvelle vie, faite de gloire et de succès, jusqu’à ce que la vérité éclate au grand jour avec l’arrivée inattendue de l’extravagante Odette Chaumette (Isabelle Huppert), une « Titi parisienne » à la gouaille tout aussi colorée que la chevelure et qui donne un témoignage inattendu… (…)

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Culture / KulturGeekTrends

Jasmila Žbanić a réalisé le 6e épisode de la série The Last of Us

La réalisatrice bosnienne, Jasmila Žbanić, dont le dernier long métrage, Quo Vadis, Aida?, a été nommé aux Oscars pour le meilleur film étranger en 2020 pour, a mis en scène le sixième épisode de la série HBO The Last of Us programmé le 19 février, sur la même plateforme. (…)

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Cinéma / KinoCulture / Kultur

Rencontres croisées avec la réalisatrice Ursula Meier et Stéphanie Blanchoud, actrice et co-scénariste de La Ligne

Présenté en compétition à la Berlinale 2022, le film sort enfin sur les écrans romands et français ce mercredi, avant l’Allemagne le 23 janvier et la Belgique le 1er février. La Ligne est un film d’une richesse infinie, avec cette particularité de ne jamais sur-expliquer les choses et de ne pas tomber dans les stéréotypes. Chacun∙e y trouve une, dix thématiques qui touchent, chacun∙e y trouve quelque chose d’intime à y picorer… et si d’aventure cela ne serait pas le cas, difficile d’y rester insensible, car le tout déferle comme un vague de l’écran vers le spectateur∙trice, de manière cathartique comme on se plaît à ressentir de nos jours, ou bien, selon les sensibilités, de manière négative : le cinéma, c’est cela aussi, pas besoin d’aimer un film, s’il vous submerge, même négativement, c’est qu’il atteint un angle mort de l’inconscient que peut-être les images percent mieux que les mots. (…)

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Cinéma / KinoCulture / Kultur

Sélection des 10 films préférés de l’année 2022 par nos trois critiques de cinéma– Auswahl der beliebtesten Filme des Jahres 2022 von unseren drei Filmkritiker*innen

Nos trois critiques maison, Firouz E. Pillet, Harald Ringel et Malik Berkati ont vus à eux trois des centaines (milliers ?) de films cette année, en festival et en projection de presse, dans tous les formats et les genres. La rédaction leur a demandé de faire une sélection de leurs films préférés, ils et elle ont râlé, car difficile de se tenir à 3 ou 4 films, mais ils et elle y sont arrivé·es ! Voici en français pour Firouz et Malik et en allemand pour Harald leurs choix.

Unsere drei Hauptkritiker*innen Firouz E. Pillet, Harald Ringel und Malik Berkati haben in diesem Jahr Hunderte (Tausende?) von Filmen gesehen, sowohl auf Festivals als auch in Pressevorführungen, in allen Formaten und Genres. Die Redaktion hat sie gebeten, eine Auswahl ihrer Lieblingsfilme zu treffen – sie haben gemeckert, weil es schwierig ist, sich auf drei oder vier Filme zu beschränken; irgendwie haben sie es aber geschafft! Hier ist ihre Auswahl auf Französisch für Firouz und Malik und auf Deutsch für Harald.
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Cinéma / KinoCulture / Kultur

Une femme indonésienne (Before, Now & Then) de Kamila Andini – La métaphore du chignon

Présenté en compétition à la Berlinale 2022, le quatrième film de la scénariste et réalisatrice indonésienne Kamila Andini a remporté l’Ours d’argent de la meilleure performance dans un second rôle pour Laura Basuki. Une femme indonésienne est basé sur l’histoire de la mère de sa productrice exécutive, Jais Darga. Le titre international permet de poser le fil narratif sur une frise chronologique : le prélude (Before), une longue scène d’ouverture où l’on suit deux jeunes femmes, Nana avec son bébé et sa sœur Ninsingh, fuyant dans la forêt. Des hommes armés – soldats, rebelles ?, nous sommes dans les années 50 aux premières heures tourmentées de l’indépendance du pays où la violence vient de tous les camps – les poursuivent : ils ont tué leur père et le mari de Nana est porté disparu. Comme au réveil d’un rêve, on se retrouve dans un autre espace et un autre temps – Now, le présent qui est le cœur du film, est celui de la fin des années 60. Nana (Happy Salma) est mariée à un riche propriétaire terrien, Monsieur Darga (Arswendy Bening Swara), plus âgé qu’elle, elle est la maîtresse évanescente du domaine et la mère de quatre enfants, son premier enfant étant décédé. La vie semble glisser sur cette femme qui maintient le monde des apparences – celles que l’on attend d’une femme de son rang, qui plus est mal acceptée par la famille et les allié·s de son époux qui la considèrent comme une arriviste. Méticuleuse, elle semble mettre beaucoup de son âme dans la confection de bouquet et celui de son chignon qui, comme elle l’explique à sa fille cadette Dais, renferme ses secrets. Coincée entre son traumatisme du passé et sa vie corsetée du présent, Nana va trouver une voie d’émancipation pour le moins inattendue : l’amitié qu’elle va nouer avec Ina (Laura Basuki), la jeune maîtresse se son mari qui amène un vent de fraîcheur et de liberté dans cet univers sclérosé. (…)

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Cinéma / KinoCulture / Kultur

Sortie en Romandie de Unrueh de Cyril Schäublin – De l’anarchisme horloger dans le vallon de Saint-Imier

Présenté en Première à la Berlinale 2022 dans la section compétitive Encounters, Unrueh a permis au cinéaste suisse Cyril Schäublin d’y recevoir le Prix de la meilleure réalisation, avant de recevoir à la Viennale 2022 le Prix de la critique internationale FIPRESCI. Le film sort cette semaine sur les écrans romands. (…)

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Cinéma / KinoCulture / KulturForum citoyen / Bürgerforum

11ème Rencontres cinématographiques Palestine: Filmer C’est Exister (PFC’E) du 1er au 4 décembre 2022 à Genève

(…) Nous croyons connaître la situation entre la Palestine et Israël, puisqu’elle pèse sur la marche du monde depuis des décennies. Nous essayons de la cacher dans un coin très reculé de notre mauvaise conscience collective, se persuadant qu’il n’y a pas de solutions, reprenant l’idée de conflit – représentation qui implique deux côtés belligérants, avec des responsabilités plus ou moins équivalentes. Il suffit de regarder la programmation de PFC’E pour comprendre qu’Avi Mograbi a raison : le dessein de l’occupation, c’est avant tout s’approprier la terre et se débarrasser de ses habitants. (…)

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