Jeremy Irons

Berlinale 2020Cinéma / KinoCulture / Kultur

Palmarès de la 70e Berlinale très consensuel

Le jury international composé de Jeremy Irons (président) Bérénice Bejo, Jeremy Irons, Bettina Brokemper, Annemarie Jacir, Kenneth Lonergan, Luca Marinelli et Kleber Mendonça Filho semble avoir voulu ratisser large et ne pas froisser ou faire de vagues. L’impression que le palmarès donne est celui du consensus : donner des récompenses un peu dans toutes les directions, cela ne peut que dans l’ensemble s’équilibrer. Et c’est vrai que le résultat, un peu tiède et convenu, tient à peu près la route. On regrettera toutefois que des films exigeants comme Rizi (Days) de Tsai Ming-Liang ou The Roads Not Taken de Sally Potter repartent bredouille. Cependant, pour être honnête, le fait que le film de Tsai Ming-Liang ne reçoive aucun prix malgré sa qualité exceptionnelle tient plutôt au fait que le directeur artistique Carlo Chatrian ait gâché toutes ses chances en le plaçant en compétition officielle plutôt que dans la nouvelle section compétitive qu’il a créée – Encounters.
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Berlinale 2020Cinéma / KinoCulture / Kultur

Berlinale 2020 – Quote of The Day #1: Jeremy Irons qui fait une déclaration sur l’avortement, le mariage pour tous et les violences faites aux femmes

Avant de débuter la conférence de presse traditionnelle que donne le jury international avant le film d’ouverture, Jeremy Irons, très solennel, a tenu à faire une déclaration afin d’évacuer les controverses et critiques véhiculées dans la presse allemande qui met en cause le choix de l’acteur britannique comme président du jury pour les propos qu’il aurait tenu dans le passé sur les femmes et les homosexuel.les.
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Culture / KulturThéâtre / Theater

Avignon OFF 2018: Mirad, un garçon de Bosnie, du dramaturge hollandais Ad de Bont – Rencontre avec le metteur en scène Christophe Laluque

Écrite durant la dernière guerre balkanique, au début des années 1990, la pièce a été montré une vingtaine de fois aux Pays Bas, en Allemagne et même à Oxford ou le très célèbre comédien britannique oscarisé Jeremy Irons a interprété le rôle d’oncle Djuka, un journaliste bosnien, exilé en France. Par la suite l’acteur a réalisé le téléfilm du même titre.

Après Grégoire Ingold, Sarah Maton, Stanislas Nordey, Gilles Lefeuvre et de nombreux autres metteurs en scène, Christophe Laluque directeur de L’Amin, le théâtre de Grigny (Essonne), a monté le drame du Néerlandais Ad de Bont Mirad un garçon de Bosnie au théâtre parisien Dunois au début du mois, en attendant l’avant-première avignonaise qui aura lieu le 19 juin au Théâtre Artéphile.

Traduit en plusieurs langues, le drame a été publié en France aux Éditions de l’Arche.
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Mirad, un garçon de Bosnie sera présenté au théâtre Artéphile, situé au 7, rue du Bourg Neuf, du 6 au 29 juillet, tous les jours à 14h05, interprété par Serge Gaborieau (oncle Djuka), Chantal Lavalée (tante Fazila), Robin Francier (Mirad) et Céline Liger (sa mère Vérica).

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