Vincent Lacoste

Cinéma / KinoCulture / Kultur

Avec son cinquième long métrage intitulé Un métier sérieux, Thomas Lilti quitte l’univers médical et signe un film réaliste qui rend hommage au corps enseignant. Rencontre

C’est la rentrée dans un collège en banlieue parisienne. Cette nouvelle année scolaire voit se retrouver, dans la joie et la bonne humeur, Pierre (François Cluzet), Meriem (Adèle Exarchopoulos), Fouad (William Lebghil), Sophie (Lucie Zhang), Sandrine (Louise Bourgoin), Alix (Léo Chalié) et Sofiane (Théo Navarro-Mussy), un groupe d’enseignants engagés et soudés. La convivialité et les plaisanteries qui fusent lors de leurs retrouvailles dénotent une franche camaraderie. Ces enseignant.e.s qui semblent fort bien se connaître sont rejoints par Benjamin (Vincent Lacoste), jeune professeur remplaçant sans expérience et rapidement confronté aux affres du métier. À leur contact, Benjamin va découvrir combien la passion de l’enseignement demeure intacte au sein d’une institution pourtant fragilisée et de plus en plus souvent dévalorisée. (…)

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Cinéma / KinoCulture / Kultur

TIFF 2022  : Le Lycéen, de Christophe Honoré, explore les doutes existentiels d’un adolescent endeuillé

Pensionnaire dans un internat en Savoie, Lucas (Paul Kircher) a dix-sept ans lorsque son univers d’adolescent est soudainement bouleversé et qu’il doit rentrer précipitamment auprès de sa famille. En proie à des hésitations et à des doutes existentiels, tel un animal sauvage, Lucas a besoin d’être apprivoisé par ses proches, mais aussi par son être profond, pour enfin sortir de sa chrysalide et s’assumer tel qu’il est. Entre un frère (Vincent Lacoste) installé à Paris et une mère (Juliette Binoche) avec qui il vit désormais seul, Lucas va devoir se battre pour retrouver l’espoir, la confiance en lui et l’amour. (…)

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Berlinale 2020Cinéma / KinoCulture / Kultur

Berlinale 2020 – Compétition : Effacer l’historique de Benoît Delépine et Gustave Kervern, un moment de cinéma hilarant sur un sujet contemporain sépulcral !

La restitution d’un réel décalé, c’est la marque de fabrique des deux compères grolandais que sont Delépine et Kervern. Ici, leur art atteint des sommets de justesse, d’acuité et d’humour caustique. L’autre particularité du duo de réalisateurs est sa bienveillance envers leurs personnages, souvent en rupture ou en dissonance avec le monde dans lequel ils vivent : jamais ils ne rient d’eux, et nous non plus, car nous rions en fait de compte tous en cœur et de bon cœur de nous-mêmes qui nous retrouvons à un moment ou un autre dans un ou plusieurs de leurs protagonistes, les situations auxquelles ils sont confrontés nous étant également familières.
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Cinéma / KinoCulture / KulturMostra 2019

Mostra 2019 : Mes jours de gloire, premier film d’Antoine de Bary, est projeté dans la section Orizzonti

Adrien (Vincent Lacoste) est un Peter Pan moderne. A vingt-sept ans, il se comporte toujours comme un petit garçon immature et irresponsable. Quand il était enfant, il a connu un furtif succès en tant qu’acteur, mais cela fait maintenant plus de dix ans, et aujourd’hui Adrien n’a ni gloire ni argent.
La séquence d’ouverture montre Adrien attendant la venue des pompiers usr le trottoir en face de son immeuble. Il les appelés car, selon sa version, sa copine a laissé le gaz allumé. Mais, alors que les pompiers entrent dans l’immeuble, il escalade l’échelle posée contre la façade pour regagner son appartement … Il a en fait oublié ses clefs à l’intérieur et ne voulait pas payer les services d’un serrurier.
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Cannes 2019Cinéma / KinoCulture / Kultur

Cannes 2019 : « Chambre 212» de Christophe Honoré

En habitué de la Croisette, Christophe Honoré avait présenté l’an dernier en compétition Plaire, aimer et courir vite sur la tragédie des années sida à travers l’histoire d’amour entre deux hommes, récompensé finalement par le Prix Louis Delluc 2018.

Son nouveau film, Chambre 212, présenté dans la section Un Certain Regard, nous invite dans un appartement parisien de la rive gauche. Une femme, la quarantaine, prend sa douche au milieu de la journée. Son mari, début cinquantaine, arrive et sétonne qu’elle se douche à cette heure puis il lui dit qu’il va lancer une machine. Elle, c’est Maria (Chiara Mastroianni), lui, Richard (Benjamin Biolay).

Alors qu’il est en train de remplir le tambour de la machine et de vider les poches des habits de sa femme, il y trouve son téléphone qu’il pose précautionneusement sur une étagère. Mais le téléphone ne cesse de vibrer : il finit par y jeter un coup d’oeil et découvre que, via un SMS qui ne laisse guère place au doute sur la joyeuse partie de jambes en l’air qui a eu lieu l’après midi, sa femme le trompe.
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Cinéma / KinoCulture / Kultur

Ciné-Festival 2018 : Amanda, de Mikhaël Hers, un film lumineux malgré des thématiques difficiles – Rencontre

Au cœur de Paris, de nos jours, David (Vincent Lacoste), la vingtaine, vit de manière insouciante, cumulant les petits boulots. Au grand désespoir de sa sœur aînée (Ophelia Kolb), qui élève seule sa fille.
David vient de rencontrer Léna (Stacy Martin), une jeune femme, venue de province et fraîchement débarquée à Paris pour y tenter sa chance.
Peinant à prendre des engagements et à faire des choix, David va devoir assumer des responsabilités le jour où sa sœur disparaît brutalement : David se retrouve en charge de sa nièce, Amanda (Isaure Multrier),âgée de de sept ans. Désemparé face à cette situation, David va devoir quitter son mode de vie désinvolte et son insouciance.
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Cannes 2018Cinéma / KinoCulture / Kultur

Cannes 2018 : « Plaire, aimer et courir vite », le nouveau film de Christophe Honoré, signe le retour du cinéaste sur La Croisette avec une chronique d’une histoire d’amour au masculin sur fond d’épidémie de sida en 1993

C’est le premier film français en compétition au Festival de Cannes : Plaire, aimer et courir vite, de Christophe Honoré, plonge les spectateurs, dans les années 1990, en plein été. Arthur (Vincent Lacoste) a vingt ans et il est étudiant à Rennes. Sa vie bascule le jour où il rencontre Jacques (Pierre Deladonchamps), un écrivain qui habite à Paris avec son jeune fils, Louis. Le temps d’un été, Arthur et Jacques vont se plaire et s’aimer. Mais cet amour, Jacques sait qu’il faut le vivre tout de suite, intensément, sans réfléchir, en flambant les étapes comme la flamme d’une bougie dont la mèche va bientôt s’éteindre. Pour Arthur, qui a cumulé les aventures sans lendemain, c’est un premier amour qui rencontre un dernier amour sans en soupçonner l’urgence.
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