Commémoration des 80 ans de La Révolte des Croates
Bien avant les Américains, les ressortissants de l’Ancienne Yougoslavie, des Bosniens et quelques Croates ont créé à Villefranche de Rouergue, le premier territoire libre en France. (…)
Read Morelifestyle & responsible citizenship
Bien avant les Américains, les ressortissants de l’Ancienne Yougoslavie, des Bosniens et quelques Croates ont créé à Villefranche de Rouergue, le premier territoire libre en France. (…)
Read MoreTJ Ballantyne (Dave Turner) est le propriétaire du « Old Oak », un pub situé dans une petite bourgade du nord de l’Angleterre et menacé de fermeture suite à l’arrivée de réfugiés syriens dans le village. Il y sert quotidiennement les mêmes habitués désœuvrés pour qui l’endroit est devenu le dernier lieu où se retrouver. L’arrivée de réfugiés syriens va créer des tensions dans le village. Cependant, TJ va se lier d’amitié avec Yara (Ebla Mari), une jeune migrante passionnée par la photographie. Une amitié inattendue va naître entre ces deux personnages, malgré les tensions et les préjugés qui pèsent sur le village. Ensemble, ils vont tenter de redonner vie à la communauté locale en développant une cantine pour les plus démunis, quelles que soient leurs origines. (…)
Read MoreDans ce biopic sportif, tous les éléments classiques du genre destinés à rendre hommage à l’individu porté à l’écran : l’exploit personnel qui transcende toutes les difficultés et les coups du destin pour faire triompher la valeur de la persévérance. À ceci près que si l’héroïne est une athlète hors normes, elle est également un être humain complètement auto-centré, à la fois sympathique, touchante et insupportable, déplaisante. On sait gré au duo de cinéastes Elizabeth Chai Vasarhelyi et Jimmy Chin (auteur.rice de Free Solo sur l’ascension par le grimpeur Alex Honnold en solo intégral de la formation rocheuse El Capitan dans la vallée de Yosemite, Oscar du meilleur film documentaire 2019) de ne pas être tombé dans le travers le plus commun des biopics – ne pas oser égratigner son héros ou son héroïne, ou d’enjoliver leurs travers les plus dérangeants – et d’avoir su transposer fidèlement à l’écran la personnalité de la véritable Diana Nyad, comme on le constate, stupéfaits tant le trait semble grossier dans la fiction, à la fin du film dans des extraits télévisés ! (…)
Read MorePour Anselm (Le Bruit du temps), Wim Wenders invite son public à se munir de lunettes 3D. On s’inquiète et on se demande si le cinéaste allemand a définitivement cédé aux démons des projections en trois dimensions. Puis, dès l’ouverture du film, alors que des silhouettes de femmes, sans tête, sous forme de mannequins en fil de fer, apparaissent, les spectatrices et les spectateurs cernent que cette exigence du réalisateur est justifiée pour apprécier à sa juste valeur la promenade fantaisiste à laquelle il nous convie : Wim Wenders crée un incroyable voyage cinématographique et artistique à travers la vie d’Anselm Kiefer et de ses œuvres dans ses ateliers comme dans les sites d’exposition à la Biennale d’Art de Venise, par exemple. Au fil des séquences, la caméra de Wenders suit Anselm Kiefer se balader à vélo dans son immense atelier de Barjac, dans le Gard (l’artiste vit essentiellement en France). (…)
Read More(…) Pour son troisième long métrage derrière la caméra, Yolande Moreau se retrouve aussi devant l’objectif, incarnant Mireille, une femme fantasque, fantaisiste, éprise de poésie et de belles lettres, et surtout vieille amoureuse dans l’âme, tant de la vie comme des gens. Distillant un esprit juvénile rafraîchissant, Mireille demeure optimiste et confiante en l‘avenir malgré les obstacles à surmonter – ses difficultés pécuniaires, les assauts de sa sœur, l’état délabré de sa maison – et savoure les menus plaisirs de la vie, à commencer par quelques vers de poésie qui comblent ses journées. D’ailleurs, son amoureux de l’époque s’est fait passer pour un poète pour la séduire. (…)
Read MoreLe film s’ouvre sur une cérémonie amérindienne, au début du 20e siècle, sur le territoire de la tribu des Osages dans l’Oklahoma. La plaine verte à perte de vue, un frémissement venu de la terre, un jaillissement noir sous lequel de jeunes Osages dansent, prémonition du sort macabre qui attend cette tribu des Premières Nations. (…)
Read MoreVivant entre la Suisse, l’Égypte et Los Angeles, Nadia Fares Antiker est le fruit de l’amour entre une Suissesse originaire de l’Emmental bernois et d’un Égyptien. Née en 1962, la cinéaste helvético-égyptienne a vu le jour à une époque où les couples appelés mixtes ne coulaient pas forcément des jours heureux malgré les forts sentiments qui les unissaient. (…)
Read MoreAlbert Wiederspiel, Leiter des Filmfests seit 21 Jahren, verabschiedete sich nach dem Filmfest in den wohlverdienten Ruhestand. Zum Abschied bot er noch einmal ein erstklassiges Filmprogramm, das er mit seinem bewährten Team zusammenstellte. In allen Sektionen gab es viele Filme der Festivals von Cannes, Venedig, Locarno, Sundance, etc. zu entdecken. (…)
Read MoreÉcrit par la réalisatrice, le scénario se concentre sur Lydia, une jeune trentenaire menant une brillante carrière de maïeuticienne qui peine à trouver un équilibre dans sa vie sentimentale. En effet, Lydia (Hafsia Herzi) excelle comme sage-femme très investie dans son travail mais est en pleine rupture amoureuse suite à l’infidélité de son compagnon. Elle erre dans les bus franciliens la nuit, captée par son travail pour noyer son chagrin. Une nuit, le bus arrivé en bout de course, Lydia se retrouve à Bagnolet à attendre un taxi : Milos (Alexis Manenti, César du meilleur espoir et Lumière de la révélation en 2020 pour Les Misérables), le chauffeur du bus, lui propose de l’attendre avec elle. Ce sera une nuit sans lendemain… Au même moment, sa meilleure amie, Salomé (Nina Meurisse, nommée au César du meilleur espoir et au Lumière de la révélation en 2020 pour Camille), avec laquelle elle est très complice, lui annonce qu’elle est enceinte et lui demande de suivre sa grossesse. Un jour, Lydia croise à nouveau le chemin de Milos, cette conquête d’un soir, alors qu’elle tient le bébé de son amie dans ses bras. Lydia lui annonce que cet enfant est le leur. D’abord incrédule, Milos embrasse sa paternité et veut pleinement l’assumer en présentant Edmée et sa maman à sa famille. Au fil des jours, Lydia s’enfonce dans un mensonge auquel elle croit de plus en plus, au risque de tout perdre… (…)
Read MoreLa fondation impactIA, dirigée par Laura Tocmacov, et l’artiste pluridisciplinaire Jonathan O’Hear poursuivent leur collaboration dans un cycle sur les interactions entre les humains et les entités non-humaines. Sujet passionnant et actuel s’il en est, son approche fait, ici, un pas de côté. Le directeur artistique du festival, en paraphrasant l’anthropologue Jeremy Narby, explique que la démarche de ce laboratoire expérimental consiste à accepter l’entité, la laisser entrer et s’y confronter plutôt que de tomber dans le réflexe atavique occidental qui a pour nature de vouloir comprendre une chose avant de s’y frotter. Pour cette troisième année, huit artistes humain·es et Chimère (l’intelligence artificielle à vocation artistique créée par Jonathan O’Hear et son frère ingénieur Timothy O’Hear) développent des expositions, des performances et des conférences sur cinq étages de la Maison Saint-Gervais. (…)
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