Kacey Mottet Klein

Cinéma / KinoCulture / Kultur

Sortie romande de Last Dance de Delphine Lehericey que nous avions rencontrée à Locarno 2022

(…) Delphine Lehericey réalise un tour de force artistique dans l’écriture de son film, celui d’allier finement la comédie de situation avec des tournures de récit plus dramatiques. Elle parvient à tenir constamment le balancier sur cette étroite crête, ne tombant jamais dans les extrêmes ou les facilités narratives. Elle parvient à entraîner ses spectateurs et spectatrices dans leurs propres projections de la famille, du deuil, de l’art, des relations humaines. Last Dance nous fait rire, nous émeut et nous accompagne dans une introspection inattendue une fois sorti.es de la salle de cinéma. Puis, par un effet retard, reste un doux effluve dans le sillage des images qui s’estompent, un sourire qui se dessine au sentiment d’apaisement et ces quelques vers du poète reviennent, telle une madeleine de Proust : « Pourquoi que je vis, parce que c’est joli. » (Boris Vian) (…)

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Cinéma / KinoCulture / KulturLocarno 2022

Locarno 2022 – Piazza Grande : Last Dance, une tendre comédie sur la danse, la famille, le geste du deuil. Rencontre avec la réalisatrice suisse Delphine Lehericey

Après Puppylove (2013) et Le Milieu de l’horizon (2019 ; Prix du Meilleur film de fiction et Meilleur scénario du Cinéma Suisse 2020) où la cinéaste suisse explorait le monde adolescent, Delphine Lehericey aborde avec Last Dance celui du « dernier âge », comme elle le nomme si joliment.
Germain, septante-cinq ans (François Berléant, qui tient à dire avec humour qu’il n’est pas aussi âgé que son personnage), est retraité. Il passe ses journées à lire en attendant Lise (Dominique Reymond), sa femme qui a des activités extérieures. Il fait partie de cette génération d’hommes qui laisse les femmes s’occuper de tout à la maison. C’est elle qui lui fait à manger, lui prépare le petit-déjeuner… et au milieu de ce quotidien, des moments de grâce apparaissent lorsqu’il lui fait la lecture de À la recherche du temps perdu, instants sauvés du monde et de ses contraintes. Germain a subi une opération majeure l’année précédente et semble de santé instable. Contre toute attente, c’est sa femme qui disparaît. (…)

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Cinéma / KinoCulture / Kultur

L’événement, d’Audrey Diwan, d’après le roman éponyme d’Annie Ernaux, rappelle les affres de l’avortement clandestin – Lion d’or à la Mostra 2021

Audrey Diwan a créé une onde de choc lors de la projection son film à la dernière Mostra de Venise, inspiré du livre éponyme d’Annie Ernaux, sur l’avortement clandestin, le sort des femmes jsuque dans les années septante en France mais le sort de nombre de femmes dans la majeure partie de la planète. (…)

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Cinéma / KinoCulture / Kultur

Rencontre avec Kacey Mottet Klein pour la sortie suisse de “L’adieu à la nuit” d’André Téchiné

Trois ans après avoir été sélectionné parmi dix jeunes acteurs européens  dans les Shooting Stars Award (les jeunes talents européens) à la Berlinale 2016, où le jeune acteur romand Kacey Mottet Klein avait représenté la Suisse, il était de retour dans la capitale allemande avec l’équipe du film  L’adieu à la nuit d’André Téchiné, présenté hors compétition lors de la 69ème Berlinale.
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Berlinale 2019Cinéma / KinoCulture / Kultur

Berlinale 2019 : André Téchiné, venu présenter L’adieu à la nuit, révèle les motivations qui l’ont poussé à faire un film sur la radicalisation des jeunes – Interview

Quelle a été la motivation initiale pour faire ce film ?

Je voulais que l’argument soit très droit et très simple et j’ai imaginé un personnage de ma génération – Catherine Deneuve – face à de jeunes islamistes radicalisés; cela a été l’argument très simple dramatique du film : qu’est-ce que vous feriez à la place de Catherine Deneuve ? Qu’est-ce que je ferais à la place de Catherine Deneuve si, tout un coup, quelqu’un qui m’est proche, quelqu’un de ma propre famille passait de l’autre côté ?
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Berlinale 2019Cinéma / KinoCulture / Kultur

Berlinale 2019 : rencontre avec Kacey Mottet Klein, Oulaya Amamra et Stéphane Bac, les jeunes acteurs de L’adieu à la nuit d’Andrée Téchiné

Kacey Mottet Klein est l’un de ces jeunes comédiens que l’on a littéralement vu grandir devant les caméras : de L’Enfant d’en haut en 2011 à Home d’Ursula Meier puis à Gainsbourg, vie héroïque de Joann Sfar, Kacey Mottet Klein est entré dans la cour du septième art jouant devant la caméra des grands. d’ailleurs, il joue Quand on a 17 ans d’André Téchiné qu’il retrouve pour son nouveau long métrage avec Catherine Deneuve, L’Adieu à la nuit. Trois ans après avoir été sélectionné comme Shooting Star (meilleurs talents européens), Kacey Mottet Klein est de retour au festival du film de Berlin. A ses côtés, dans le rôle de sa petite amie, Lila, radicalisée et prête à partir combattre en Syrie, Oulaya Amamra et dans le rôle du recruteur, une ex-petite frappe de banlieue qui endoctrine grâce à un discours religieux salutiste bien rôdé, Stéphane Bac qui interprète Bilal.
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Berlinale 2019Cinéma / KinoCulture / Kultur

Berlinale 2019 – hors compétition: Le réalisateur français André Téchiné présente son dernier film L’adieu à la nuit, avec Catherine Deneuve et Kacey Mottet Klein

Muriel est folle de joie de voir Alex, son petit-fils, qui vient passer quelques jours chez elle avant de partir vivre au Canada. Intriguée par son comportement, elle découvre bientôt qu’il lui a menti. Alex se prépare à une autre vie. Muriel, bouleversée, doit réagir très vite…
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Le film se déroule pendant les premiers jours du printemps, principalement à l’extérieur, ce qui a permis à André Téchiné de mettre en valeur une nature bourgeonnante et verdoyante, de montrer des cerisiers en fleurs ou les les flancs des Pyrénées. Cette nature en pleine renaissance offre des tons lumineux qui contrastent inévitablement avec le noyau du récit, nettement plus dramatique.
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Cinéma / KinoCulture / Kultur

[Audio] Pessac : « L’Échange des princesses », de Marc Dugain, présenté en avant-première, suscite un accueil mitigé

Sur le conseil de sa femme Marc Dugain se plonge dans la lecture du roman de Chantal Thomas et décide de le porter sur grand écran. Il se met à la recherche d’enfants pour incarner les principaux protagonistes et rencontre Igor Van Dessel, qui joue Louis XV, alors que ce dernier tournait au Cap Ferret. Le metteur en scène, qui habite Bordeaux, se rappelle : “Je l’ai emmené déjeuner, on a discuté, et du haut de ses treize ans à la fin du repas, il a sorti son portefeuille : « Vous voulez que je vous invite ? » Igor, très photogénique, capte la lumière, avec ses yeux au regard lointain et son air angélique. « Comme les grands acteurs, il est capable d’une grande concentration mais quand il a fini sa prise, il déconnecte immédiatement ». Juliane Lepoureau, qui joue l’infante d’Espagne, a été choisie au terme d’un casting et impressionne par son jeu troublant de maturité malgré son très jeune âge. Anamaria Vartolomei, qui incarne Marie Elisabeth, avait été repérée par le directeur de la photographie Gilles Porte dans L’idéal de Frédéric Beigbeder dont il avait fait la lumière. Quant à Kacey Mottet-Klein, notre digne représentant lausannois qui tourne désormais tant en France qu’en Belgique où il vit, campe ici Don Luis, « il est tombé un peu du ciel”, s’amuse Marc Dugain.
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Berlinale 2016Cinéma / KinoCulture / Kultur

Berlinale 2016 – Les pattes d’ours décernées par j:mag

Cet article n’est pas très original dans le monde des médias, mais c’est une première à j:mag – assez étonnant

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Berlinale 2016Cinéma / KinoCulture / Kultur

Berlinale 2016 – Compétition jour #4: Un belle journée de cinéma avec Cartas da Guerra, 24 Wochen, Quand on a 17 ans

Ce 4è jour de festival est notable : rare sont les journées de festivals où tous les films présentés en compétition

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