Bérénice Bejo

Cinéma / KinoCulture / KulturLocarno 2024

Locarno 2024 – Piazza Grande :  Mexico 86, deuxième long métrage de César Díaz, mêle la grande Histoire de son pays avec l’histoire de sa famille. Rencontre

Dédiant Mexico 86 à sa mère, le cinéaste poursuit son travail de mémoire en auscultant la lutte si difficile et douloureuse des activistes et militants dans leur engagement versus leur contexte familial.
Le film s’ouvre en 1976 alors que la jeune Maria (Bérénice Béjo), une militante rebelle guatémaltèque luttant contre la dictature militaire corrompue, voit son mari se faire assassiner devant leur maison. (…)

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Cannes 2022Cinéma / KinoCulture / Kultur

Cannes 2022 – Coupez ! (Final Cut !) de Michel Hazanavicius célèbre l’art de faire du cinéma en ouverture du festival

Coupez ! est un film jubilatoire sur le monde du cinéma, ses petites mains comme ses grands égos, traité avec beaucoup d’autodérision par le réalisateur de The Artist ainsi que par les actrices et acteurs qui jouent sans retenue les travers de la profession. Cette ode aux métiers du cinéma et à leurs artisans, à la passion que cette industrie implique, se couple à une belle histoire de famille qui contient les éléments du besoin de reconnaissance et de la transmission filiale.
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Cinéma / KinoCulture / Kultur

L’Homme de la cave, de Philippe Le Guay, plonge le public dans le passé familial à la lecture du révisionnisme

À Paris, Simon (Jérémie Renier) et Hélène (Bérénice Bejo) décident de vendre une cave dans l’immeuble où ils habitent. Un homme, Jacques Fonzic (François Cluzet) au passé trouble, l’achète et s’y installe sans prévenir. Peu à peu, sa présence va bouleverser la vie du couple. Si le scénario du dernier film de Philippe Le Guay paraît, de prime abord, rocambolesque et peu probable, c’est pourtant d’une situation bien réelle que le cinéaste s’est inspiré : en effet, dans les années 2000, un couple d’amis proches du réalisateur a décidé de vendre leur cave à un homme qui souhaitait entreposer des archives. Ils ne se sont méfiés de rien et ont donné la clef en même temps qu’ils ont encaissé le chèque. Ce qu’ils n’avaient pas prévu, c’est que l’homme s’installerait physiquement dans la cave. Le réalisateur a obtenu du couple l’autorisation de raconter son histoire, à condition de ne pas les exposer. Philippe Le Guay souligne : (…)

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Cinéma / KinoCulture / Kultur

Le bonheur des uns…, une comédie de Daniel Cohen qui illustre à merveille le vieil adage

Une vendeuse dans une boutique d’habits devient romancière à succès, un succès qui révèle la jalousie de ses proches. Léa (Bérénice Bejo), Marc (Vincent Cassel), Karine (Florence Foresti) et Francis (François Damiens) sont deux couples d’amis de longue date. Le mari macho invétéré et jaloux, la copine un peu grande-gueule et envieuse et son mari inconditionnellement amoureux et tolérant, chacun occupe sa place dans le groupe. Mais, l’harmonie vole en éclat le jour où Léa, la plus discrète d’entre eux, leur apprend qu’elle écrit un roman, qui devient un best-seller. Loin de se réjouir, petites jalousies et grandes vacheries commencent à fuser. Humain, trop humain ! C’est face au succès que l’on reconnait ses vrais amis… Le bonheur des uns ferait-il donc le malheur des autres ?
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Berlinale 2020Cinéma / KinoCulture / Kultur

Palmarès de la 70e Berlinale très consensuel

Le jury international composé de Jeremy Irons (président) Bérénice Bejo, Jeremy Irons, Bettina Brokemper, Annemarie Jacir, Kenneth Lonergan, Luca Marinelli et Kleber Mendonça Filho semble avoir voulu ratisser large et ne pas froisser ou faire de vagues. L’impression que le palmarès donne est celui du consensus : donner des récompenses un peu dans toutes les directions, cela ne peut que dans l’ensemble s’équilibrer. Et c’est vrai que le résultat, un peu tiède et convenu, tient à peu près la route. On regrettera toutefois que des films exigeants comme Rizi (Days) de Tsai Ming-Liang ou The Roads Not Taken de Sally Potter repartent bredouille. Cependant, pour être honnête, le fait que le film de Tsai Ming-Liang ne reçoive aucun prix malgré sa qualité exceptionnelle tient plutôt au fait que le directeur artistique Carlo Chatrian ait gâché toutes ses chances en le plaçant en compétition officielle plutôt que dans la nouvelle section compétitive qu’il a créée – Encounters.
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Cinéma / KinoCulture / KulturForum citoyen / Bürgerforum

Pessac 2018 : “Funan”, de Denis Do est en lice dans la catégorie film d’animation au Festival du Film d’histoire de Pessac

A l’instar de Rithy Panh, rescapé des camps de travail des Khmers rouges et qui a consacré sa filmographie à un travail douloureux mais nécessaire de mémoire, Denis Do confesse avoir pu se réapproprier sa culture d’origine à travers son travail sur Funan, un film qui relate l’histoire de ses parents à travers les figures d’un jeune couple et leur fils de trois ans, déportés avec leurs proches de Phnom Penh, la capitale du Cambodge.
Le film de Denis Do suit le combat silencieux de ces jeunes parents qui, malgré les risques qu’ils encourent et l’épuisement engendrée par la vie dans les camps, ne cessent de chercher leurs fils.
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Cinéma / KinoCulture / Kultur

Rencontres publiques avec Michel Hazanavicius aux Cinémas du Grütli suivies d’une rétrospective – Entretien audio

Les Cinémas du Grütli accueillaient Michel Hazanavicius pour une rencontre avec le public le vendredi 6 avril 2018 dès 19h30 ! Le cinéaste venait présenter son film récompensé aux Oscars, The Artist. Il sera également présent le samedi 7 avril, pour présenter et commenter ses films. Ces rencontres exceptionnelles sont suivies d’une rétrospective jusqu’au 18 avril.
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