Sortie romande d’Asteroid City de Wes Anderson le 21 juin 2023
Présenté en compétition au Festival de Cannes 2023, le film est reparti bredouille de la Croisette, mais a séduit notre critique.
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Présenté en compétition au Festival de Cannes 2023, le film est reparti bredouille de la Croisette, mais a séduit notre critique.
Read MoreEn 2021, The French Dispatch avait ravi la majorité des critiques et les quelques téméraires qui osaient affirmer le contraire passaient pour des goujats. Il y a toujours eu une méthode, empreinte de douce folie, de Wes Anderson, qui plaît ou déplaît, sans juste milieu. Mais il est certain que le cinéaste s’est déjà taillé une place toute particulière dans l’histoire du septième art. Pour Asteroid City, en lice pour la Palme, Wes Anderson réunit une distribution exceptionnelle dans un film à l’histoire insolite placée dans un décor coloré comme des pop-up colorés des années cinquante et soixante. (…)
Read MoreDepuis l’ouverture des cinémas au printemps dernier, les festivals de toutes envergures s’enchaînent les uns aux autres dans un tourbillon fou, à l’instar des sorties en salle. Le Zurich Film Festival est d’ordinaire un peu un point de ralliement temporel permettant de voir des films qui sont passés dans les quatre festivals majeurs d’une saison, ainsi qu’une sélection de films qui font leur Première européenne. Cette année, le festival et son fameux tapis vert par quelques stars, dont Sharon Stone qui recevra la distinction la plus prestigieuse du festival, le Golden Icon Award, le 25 septembre. Le 29 septembre, ce sera au tour du cinéaste napolitain Paolo Sorrentino (Il Divo, 2008, La granda bellezza, 2013 ; Loro 2018) de recevoir le A Tribute to… Award (oui, c’est un peu étrange comme intitulé, mais on comprend que c’est un Prix hommage…), avec une rétrospective de dix films, y compris son dernier, The New Pope (2020). Le 30 septembre, Le compositeur canadien oscarisé pour l’Odyssée de Pi (2012) Mychael Danna recevra quant à lui le Career Achievement Award. Pour finir en beauté la remise des prix non-compétitifs, le réalisateur et scénariste étasunien Paul Schrader recevra pour l’ensemble de sa carrière le Lifetime Achievement Award. (…)
Read MoreIrrfan Khan, l’icône de Bollywood âgée de cinquante-trois ans qui a réussi à s’imposer à la fois dans le cinéma indien et dans les productions occidentales tout au long d’une carrière remarquable de trois décennies, a perdu une longue bataille contre le cancer mercredi 29 avril 2020.
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Pendant onze jours la Rosa-Luxemburg-Platz va s’animer au rythme de nombreux événements organisés autour de la culture cinématographique qui a depuis longtemps quitté la catégorie enfants pour s’adresser à tous les publics. D’ailleurs la plupart des films présentés s’adressent explicitement à un public adulte. Ainsi, à côté des Premières et Avant-premières de films, seront présentés des classique du film d’animation, des exposés, des workshops, une Artist Alley, un Maid-Café, une exposition avec vernissage, un Music-Act et, le jour de l’ouverture du festival, un Live Manga-Portaits ! L’attractivité de ce festival tient en la richesse des genres présentés, allant de l’ Urban Actioners avec le film français d’ouverture Mutafukaz aux films pour adultes (1001 Nacht, Prinz Genji) en passant par la sciece-fiction (Paprika), le Gender Bender (Your Name), le Mecha Anime (Evangelion), Vampire (Servamp: Alice in the Garden), Magical Girl (Hirune Hime : Shiranai Watashi no Monogatari [Hirune Hime, Rêves éveillés]) ou le film historique avec le magnifique (Giovanni’s Island).
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Elf Tage feiert das Anime Berlin Festival im Babylon zum dritten Mal die grosse Vielfalt der Anime Filmkultur mit Premieren, Previews, neuen Animes, Klassikern, Vorträge, Worshops, Maid-Café, Artist Alley und Mitmachangebote für Fans und Interessierte.
Fast alle für das Festival ausgewählten Animes wenden sich explizit an ein erwachsenes Publikum, wenige sind für Kinder gedacht. Die Genres reichen von Urban Actioners (Mutafukaz), Mecha Anime (Evangelion), Magical Girl (Ancien und das magische Königreich), Gender Bender (Your Name), Historical (Giovannis Island), Sci Fi (Paprika), Vampire (Servamp: Alice in the Garden) und Adult (1001 Nacht, Prinz Genji).
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Étrange Berlinale 2018: beaucoup de bons films mais pas de chefs-d’oeuvres, par contre des choix inexplicables dans la sélection avec des films qui sont presque une atteinte à l’intégrité intellectuelle et sensorielle des spectateurs – on pense ici principalement à Eva de Benoît Jacquot, Mein Bruder heisst Robert und er ist ein Idiot de Philip Gröning et Damsel de David & Nathan Zellner. On pourrait inclure également dans cette face sombre de la sélection Touch Me Not de Adina Pintilie qui certes n’a absolument rien à faire dans cette section mais aurait été parfait dans celle de Forum, mais au moins ce film part d’une démarche artistique, ce que les 3 autres cités semblent cruellement manquer. Seules explications trouvées pour la présence de Eva et Damsel, c’est le besoin de couvrir le tapis rouge de quelques stars brillant de tous leurs feux précédents et bien poli(cé)es, à savoir Isabelle Huppert et Robert Pattinson.
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During the press conference of The Isle of Dogs (film review in French), the animated film that opened the 68th Berlinale, a journalist asked Wes Anderson: “How did you assemble such a great group of voices and for Bill Murray who has been in a lot of your films, how was it to be just a voice?”
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Atari Kobay Ashi, 12 ans, est sous la tutelle de Kobayashi, maire de la ville de Megasaki. Les chiens de la ville sont atteints d’une grippe canine virulente qui serait dangereuse pour l’homme. Kobayashi signe donc un décret qui les déporte sur une île-décharge. Le jeune Atari échappe à la surveillance des autorités et se rend sur l’île afin d’y rechercher son chien garde du corps, Spots, le premier à avoir été déporté pour donner l’exemple au reste de la population. À son arrivée, il est accueilli par une bande de chiens de bonnes familles et d’un chien de rue prénommé Chief.
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Avec ses 385 films – de tous genres et formats – présentés dans 12 sections, la Berlinale reste le festival qui rend le plus justement un instantané de l’état du monde et des évolutions artistiques cinématographiques. Toujours très politique, il s’empare des sujets qui agitent l’actualité mais permet également de dévoiler des réalités qui ne font pas la Une de nos différents écrans. C’est également à Berlin que les évolutions cinématographiques s’exposent sans peurs, dans toutes les sections, compétition comprise, mais il est vrai principalement dans une section ouverte à toutes les expérimentations, celle gérée par l’Institut allemand du film et de l’art de la vidéo – Arsenal.
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