Sandrine Kiberlain

Cannes 2022Cinéma / KinoCulture / Kultur

Cannes 2022 : Chronique d’une liaison passagère, d’Emmanuel Mouret, propose une carte du Tendre contemporaine

Charlotte (Sandrine Kiberlain), une mère célibataire et un homme marié, Simon (Vincent Macaigne), deviennent amants. Les conditions de leur relation sont claires dès le début, du moins, le pensent-ils … Tous deux s’engagent à ne se voir que pour le plaisir et à n’éprouver aucun sentiment amoureux, ils sont de plus en plus surpris par leur complicité… Leur relation est « facile », du moins c’est ainsi qu’il la présente à leurs proches.
Simon, marié depuis vingt ans, culpabilise de tromper sa femme mais trouve un regain de jeunesse et de sexualité avec Charlotte. Cette dernière, divorcée, vit très librement au gré des rencontres. Au fil de leurs rendez-vous galants, Simon, qui avait d’emblée parler de sa femme et de ses enfants à Charlotte, découvre qu’elle a un fils aîné et une fille qui étudient à Lille et un fils benjamin qui vit avec elle. (…)

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Cinéma / KinoCulture / Kultur

On est fait pour s’entendre, troisième long métrage de Pascal Elbé, brosse par touches délicates le portrait qu’un quinquagénaire en mal d’écoute – Rencontre [Audio]

Voilà plus d’une décennie que l’acteur Pascal Elbé est passé derrière la caméra; il a réalisé Tête de Turcs en 2010 et Je compte sur vous en 2015. Venu présenter son troisième long métrage lors de la 17ème édition du Festival du Film français d’Helvétie, On est fait pour s’entendre, dont il signe le scénario et dans lequel il interprète le rôle principal, Pascal Elbé est venu sur les rives du Léman nous parler de son dernier opus. Issu d’une famille juive séfarade d’Algérie, Pascal Elbé passe son enfance à Strasbourg puis fait ses débuts d’acteur sur les planches. S’illustrant au sein d’une troupe, il écrit avec ses compagnons deux pièces comiques qui connaissent un succès public au Splendid et au Café de la Gare : Charité bien ordonnée (1992) et Tout baigne (1995). Pascal Elbé se retrouve dans l’adaptation cinématographique de la seconde pièce, Tout baigne (1999) mais les cinéphiles l’ont déjà vu dans des comédies de Gérard Jugnot comme Fallait pas ! . Le comédien accède à la notoriété dans la comédie de Michel Boujenah, Père et fils, dans laquelle il incarne l’un des trois fils de Philippe Noiret aux côtés de Charles Berling et de Bruno Putzulu. Pascal Elbé s’impose comme la révélation de ce film qu’il a co-écrit, et qui lui vaut une nomination au César du Meilleur espoir.
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Cinéma / KinoCulture / KulturMostra 2021

Mostra 2021 : Un autre monde, de Stéphane Brizé, en compétition, plonge le public au cœur des plans sociaux de grandes entreprises qui sacrifient les individus au profit de la rentabilité

Au Lido de Venise, dans le cadre de la 78ème édition de la Mostra, Stéphane Brizé a présenté le dernier volet de sa trilogie sur le monde du travail. Après La loi du marché (2015) et En Guerre (2018), le cinéaste français poursuit sa collaboration avec Vincent Lindon, qui a co-produit Un autre monde et avec lequel le réalisateur a noué une forte amitié complice.
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Cannes 2021Cinéma / KinoCulture / Kultur

Cannes 2021 Une jeune fille qui va bien, premier long métrage de Sandrine Kiberlain, présenté en compétition à la Semaine de la critique offre un fin portrait d’une jeune fille juive pendant l’occupation

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Paris, été 1942 Irène (Rebecca Merder, de la Comédie française) est une jeune fille juive pétillante de dix-neuf ans. Sa famille la regarde découvrir le monde avec bienveillance et l’entoure d’un amour inconditionnel. Son père, André (André Marcon) est à la fois aimant, à l’écoute et soucieux de l’avenir de ses deux enfants, Irène et Igor (Anthony Bajon) alors que les mesures prises par le gouvernement de Vichy à l’encontre des familles juives deviennent de plus en plus marquées. La grand-mère, Marceline (Françosie Midhoff) écoute les confidences de ses petits-enfants, les conseille et les rassure.
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Cinéma / KinoCulture / Kultur

Les deux Alfred, de Bruno Podalydès, croque avec justesse les dérives d’une société de plus en plus déshumanisée

Bruno Podalydès revient sur les écrans avec un comédie à la fois drôle mais aussi subtilement critique sur les dérives de notre société contemporaine ultra-connectée et de plus en plus déshumanisée. Le titre Les deux Alfred fait référence aux deux inséparables singes en peluche des enfants du protagoniste et qui servent de fil conducteur à cette satire du monde du travail et de la société hyper-connectée. Depuis son premier film Versailles Rive-Gauche (1992), un moyen métrage très remarqué qui a remporte le Prix du Public et une mention du Jury au Festival international du court-métrage de Clermont-Ferrand, Bruno Podalydès enchante les spectatrices et les spectateurs avec ses films au ton savoureux, décalé et cocasse. Voilà bientôt trois décennies que son cinéma d’auteur a fidélisé son public qu’il avait amusé en 2018 avec Bécassine, hymne à la bonté et au bon sens populaire à travers la figure de la fille de ferme, issue de l’imagination de l’illustrateur Joseph Pinchin.
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Berlinale 2016Cinéma / KinoCulture / Kultur

Berlinale 2016 – Les pattes d’ours décernées par j:mag

Cet article n’est pas très original dans le monde des médias, mais c’est une première à j:mag – assez étonnant

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Berlinale 2016Cinéma / KinoCulture / Kultur

Berlinale 2016 – Compétition jour #4: Un belle journée de cinéma avec Cartas da Guerra, 24 Wochen, Quand on a 17 ans

Ce 4è jour de festival est notable : rare sont les journées de festivals où tous les films présentés en compétition

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