Sad news for the Berlinale 2018: Nazif Mujić is deceased!
Nazif Mujić passed away on February 18, 2018, announces the festival.
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lifestyle & responsible citizenship
Nazif Mujić passed away on February 18, 2018, announces the festival.
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La réalisatrice, scénariste et productrice géorgienne Tinatin Kajrishvili revient à la Berlinale après le succès de son film présenté en 2014, également dans la section Panorama, Brides (Les mariés). Pour Horizonti, son nouveau film, elle est, comme pour Brides, également co-scénariste avec David Chubinishvili et productrice.
Dans le marécage du chagrin
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Puisque l’article du jour n’a pas tendre avec Éva le film de Benoît Jacquot présenté en compétition, laissons donc le mot du jour au réalisateur:
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Belle journée de compétition en ce 3e jour, avec deux films potentiellement oursérisables et le troisième, Eva de Benoît Jacquot, d’une indigence crasse, ne servant qu’à la décoration du tapis rouge avec Isabelle Huppert.
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Lors de la conférence de presse de Black 47, film hors compétition traitant de la famille de 1847 en Irlande , Jim Broadbent qui interprète Lord Kilmichael, affameur de la région, qui envoie les céréales qui restent en Angleterre, et responsable de l’expulsion des habitants de leurs maisons afin d’économiser la taxe que le propriétaire terrien doit payer pour ceux qui habitent sur ses terres, dit sur un ton caustique:
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Deuxième jour de compétition un peu particulier puisque cela aura été l’occasion de voir le premier film du Paraguay jamais montré à la Berlinale, ainsi que deux westerns qui pour l’un a été hué et l’autre a divisé la critique.
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Styx de Wolfgang Fischer, fait l’ouverture de Panorama Special de la 68è édition de la Berlinale.
Pour sûr, un tel titre n’augure pas d’une comédie ! Effectivement, le titre n’est pas mensonger, il s’agit bel et bien d’un drame. Si, par la formule consacrée et éculée, « l’enfer c’est les autres », le huis clos qui se déroule ici, sur une mer tantôt déchaînée comme l’océan tantôt calme comme un lac, ouvre, comme l’intention existentialiste de la pièce de Sartre, sur ce que les actes individuels – et les non-actes – engageant le collectif.
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During the press conference of The Isle of Dogs (film review in French), the animated film that opened the 68th Berlinale, a journalist asked Wes Anderson: “How did you assemble such a great group of voices and for Bill Murray who has been in a lot of your films, how was it to be just a voice?”
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Quel endroit plus emblématique qu’un hôtel mythique, ayant servi de vitrine et symbole à un État qui n’existe plus, pour revisiter les scories de l’histoire qui ont amené une région à feu et à sang et qui actuellement ne cesse de chercher sa voie. Cet endroit, le vidéographe lausannois Nicolas Wagnières l’a trouvé à Novi Belgrade dans l’espace de l’Hotel Jogoslavija, à la fois témoin et acteur des moments qui ont marqué l’ex-Yougoslavie, de Tito à Milosevic, du socialisme de marché au nationalisme d’après Chute du mur de Berlin et de la désintégration du pays.
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Atari Kobay Ashi, 12 ans, est sous la tutelle de Kobayashi, maire de la ville de Megasaki. Les chiens de la ville sont atteints d’une grippe canine virulente qui serait dangereuse pour l’homme. Kobayashi signe donc un décret qui les déporte sur une île-décharge. Le jeune Atari échappe à la surveillance des autorités et se rend sur l’île afin d’y rechercher son chien garde du corps, Spots, le premier à avoir été déporté pour donner l’exemple au reste de la population. À son arrivée, il est accueilli par une bande de chiens de bonnes familles et d’un chien de rue prénommé Chief.
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